• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV Mobile

Paradisial

Paradisial

Je suis un esprit atemporel.
De loin, l’air hautain, en m’approchant, on découvre un être très altruiste. D’apparence infantile, ma jovialité est plutôt angélique. Mon coeur large m’invite à sourire au monde entier. Chevaleresque, j’ai également l’esprit du sacrifice. Scrupuleux, ma conscience m’est une amie fidèle. Exigeant envers moi-même, je le suis également envers les gens. Fin sans quelconque hypocrisie, ma galanterie est spontanée envers le monde entier. Seule exception : les arrogants me sont des êtres translucides, je ne les calcule jamais. Très sensible à la sensibilité des autres, je deviens impassible quand on veut trop abuser de la mienne. Calme, je ne permets pas à la bêtise humaine de me faire déchaîner. Mon majeur défaut est celui d’être perfectionniste.

Tableau de bord

  • Premier article le 06/06/2009
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 2 336 102
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0


Ses articles classés par : ordre chronologique





Derniers commentaires




  • 5 votes
    Paradisial Paradisial 2 novembre 2009 16:15

    Doctory,

    Il n’y a rien de bigot en Islam, et la prière musulmane est celle la moins rituelle parmi celles de toutes les autres religions.

    Sinon, pour le truc du financement, quand tous les musulmans de France sauront être des cadres et des chefs d’entreprises ils financeront alors plus que des lieux de culte. Mais je ne pense pas que ce problème là soit posé dans cette optique. Dans les faits : les autorisations de construire ou de fondation sont tout simplement refusées.

    Le musulman vit sa spiritualité au quotidien et à tout instant de sa vie. Il n’attend pas un jour de la semaine ou un moment de la journée pour être plus spirituel que les autres jours ou autres instants de son quotidien, et davantage, lorsqu’il prie il ne le fait pas pour s’afficher devant autrui. Au lieu d’être contraint à prier dans la rue et l’inconfort il apprécierait largement de faire son oraison dans un lieu plus décent et approprié.

    Je ne verrais pas une mosquée fermer ses portes, en indiquant : ici c’est saturé, allez voir ailleurs (alors qu’ailleurs n’existe pas de mosquées, ou quand il en existe, il y en une toute aussi petite et étroite, consistant en un garage réaménagé.)

    Allez, n’oublie pas qu’il y a plusieurs avantages pour les autorités à laisser les musulmans contraints à prier sur le trottoir :

    1 - cela pourrait irriter des très peu futés comme toi smiley

    2 - le discours sur l’identité national pourrait être maintenu (que la construction de mosquées soit concédée ou pas), ainsi les réactions épidermiques de ces premières gens sont constamment nourries smiley

    3 - c’est plus facile de fliquer des gens priant à l’air libre que dans l’enceinte d’un lieu fermé smiley



  • 3 votes
    Paradisial Paradisial 2 novembre 2009 15:52

    Doctory,

    Qui a dit mon coco que les musulmans voudraient de l’argent public pour construire des mosquées ?!!!

    Remarque-le, les églises actuellement présentes n’ont pas été construites au courant de ce siècle. Elles sont largement largement antérieures à 1916.

    Construire une église aujourd’hui coûterait plusieurs millions d’euros. Mais cela ne serait pas une besogne fort contraignante pour l’administration cléricale vu son énorme patrimoine foncier et financier. La communauté musulmane, elle, par contre, est assez indigente, pour autant, ses membres n’hésiteraient pas à financer la construction d’une mosquée si l’administration communale voudrait bien les autoriser à en construire, ce que cette dernière rechigne beaucoup à le leur concéder (comme d’ailleurs te l’insinuait Fkaryaka).

    Remarque-le : le christianisme n’est pas une religion endémique de la France, mais une religion orientale venue d’ailleurs, presque de la même région d’où l’Islam provient.

    Monsieur l’intrépide, un lieu de prière n’est pas sensé fermer ses portes aux dévots. Quand il est plus que étroit et déborde d’orants parce que l’autorité communale ne concède pas la construction ou l’aménagement d’un lieu largement plus spacieux et décent, il n’y est aucun délit ou mal de faire sa petite prière sur le trottoir l’instant d’une oraison. Partout où le dévot oriente son visage Dieu est ; partant, toute la terre est une mosquée. Même un terrain gazonné ou sablonneux ferait l’affaire.



  • 1 vote
    Paradisial Paradisial 1er novembre 2009 23:50

    Erick Artiste humoriste depuis 1914 !!!

    Certainement t’as pas encore rencontré Duncan Mc-Leod. smiley



  • 6 votes
    Paradisial Paradisial 1er novembre 2009 23:47

    Moi je voudrais vendre mes chaussettes trouées.

    Est-ce qu’on saura publier mon annonce.

    Sera-t-il nécessaire de montrer mes pieds à poil pour qu’elle puisse passer ?! smiley



  • 6 votes
    Paradisial Paradisial 1er novembre 2009 23:18

    J’avais déjà eu l’occasion de faire ma prière du vendredi sur le trottoir de cette même rue.

    Ce que je puis en dire, c’est qu’aucun musulman n’apprécierait prier à même le trottoir.

    Si les orants sont cantonnés à le faire c’est qu’ils n’en ont pas le choix, la superficie de cette mosquée et de ses consœurs est trop trop réduite, et il n’y est pas des mosquées à la ronde. Toutes d’ailleurs, à cause de leurs superficies infinitésimales, se retrouvent débordées, notamment le vendredi et les jours de fêtes religieuses.

    La superficie trop réduite et trop incommode de ces mosquées est due au fait que la plupart de ces mosquées ne sont vraisemblablement que des garages réaménagés. Elles sont loin d’être des cathédrales ou des synagogues.

    Les gens font la prière du vendredi à la mosquée qui est à leur portée, tout près de leurs lieux de travail quand il y en a déjà une. Déjà que ces mosquées sont trop réduite, alors là avec une telle affluence, il est normal qu’elles soient débordées. On n’imaginerait pas les orants non plus rebrousser en plein midi les chemins vers leurs lieux de résidence pour effectuer la prière à la mosquée du quartier lorsqu’il y en a déjà une (et qu’elle ne se réduise pas à une cave ou à un garage non plus).

    Les orants sur le trottoir baissent souvent systématiquement leurs regards ; épier les passants abolirait leur prière en les distrayant de celle-ci.

    Personne ne pense à occuper un lieu public. Une fois la prière effectuée chacun revient vaquer à ses affaires.

    La dernière prière de l’Aïd Al Fir (commémoration de la rupture du ramadan) je l’avais effectuée à Paris. C’était au niveau d’une mosquée fréquentée par plein d’antillais. La mosquée était débordante. J’avais été contraint d’enlever mon veston de cuir pour le placer à même le sol du trottoir pour effectuer ma prière dessus.

    C’était très convivial et fraternel. Un petit-déjeuner (de rupture) sommaire avait été organisé à la fin de la prière. Je me souviens encore de ce geste amical et très charmant où l’un des organisateurs avait rempli un plateau et l’avait porté vers l’une des voitures de police, à destination des agents qui étaient en train de surveiller le bon déroulement de l’événement, pour qu’eux aussi partagent ce petit-déjeuner avec les orants. smiley smiley

Voir tous ses commentaires (20 par page)

Les thèmes de l'auteur

Islam Médias Tariq Ramadan Politique


Publicité


Publicité


Palmarès

Publicité