• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV Mobile

Paradisial

Paradisial

Je suis un esprit atemporel.
De loin, l’air hautain, en m’approchant, on découvre un être très altruiste. D’apparence infantile, ma jovialité est plutôt angélique. Mon coeur large m’invite à sourire au monde entier. Chevaleresque, j’ai également l’esprit du sacrifice. Scrupuleux, ma conscience m’est une amie fidèle. Exigeant envers moi-même, je le suis également envers les gens. Fin sans quelconque hypocrisie, ma galanterie est spontanée envers le monde entier. Seule exception : les arrogants me sont des êtres translucides, je ne les calcule jamais. Très sensible à la sensibilité des autres, je deviens impassible quand on veut trop abuser de la mienne. Calme, je ne permets pas à la bêtise humaine de me faire déchaîner. Mon majeur défaut est celui d’être perfectionniste.

Tableau de bord

  • Premier article le 06/06/2009
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 2 336 102
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0


Ses articles classés par : ordre chronologique





Derniers commentaires




  • 10 votes
    Paradisial Paradisial 29 juillet 2010 01:16

    Salops de braves CRS, pourquoi n’ont-ils pas eux ramené leurs propres enfants, portés sur leurs dos, ou juste installés sur le trottoir d’en face, pour admirer leurs propres parents déloger vaillamment d’autres parents.

    Sharko le requin et ses amis les rémoras c’est pas en bas de la tour Balzac qu’ils iraient ramasser des enveloppes bien garnies.

    Comme Hortfou aime beaucoup faire sortir ses poulets de leurs batteries sillonner le pavet, il n’aurait qu’à ouvrir les casernes à ceux qui ont été ainsi délogés.



  • 14 votes
    Paradisial Paradisial 29 juillet 2010 01:07

    Aux démagos de bas étages qui stigmatisent ces pauvres femmes - vivant l’indigence et la dépossession - d’être en compagnie de leurs enfants :

    Bah quoi donc ?!!!

    Où espéreriez-vous qu’elles placent leurs enfants alors qu’elles n’ont même pas où dormir ?!!!

    En colonie de vacances sise en Méditerranée, dans une crèche du 16ième arrondissement ou bien les cacher à l’abri des CRS aux fins fonds des bois ?!!

    Grands ignares : si les parents dorment à même le trottoir, des enfants d’aussi BAS ÂGE ne peuvent naturellement être qu’en compagnie de leurs propres parents.



  • 6 votes
    Paradisial Paradisial 26 juillet 2010 00:09

    Comme d’autres commentateurs le firent remarquer, la prévenue avait participé à l’assassinat de son mari en compagnie de deux complices, aussi je m’abstiendrais de revenir sur cette fausse polémique visant à stigmatiser la valeureuse nation iranienne, mais aurais à traiter de l’autre sujet : la prétendue lapidation.

    Le Christianisme n’avait jamais, dans ses textes sacrés, abrogé la lapidation pratiquée par les juifs, l’Islam, par contre, via le Coran, l’avait fait.

    Les ignorants vont me crier que des musulmans (n’exagérons pas, une partie infime des musulmans) la pratiquent, et qu’il existe en sus deux ou trois hadiths qui parleraient de sa pratique, et que dès lors je ne pourrais être qu’un menteur.

    A ces mêmes ignorants je répondrais : l’Islam est totalement innocent de ces gens là et de ces prétendus hadith, et ce pour la simple raison que le Coran a effectivement abrogé la lapidation énoncée dans la Torah, lui substituant la flagellation, qui elle n’est pas mortelle, pour les deux adultérins et non seulement pour la femme adultère.

    A ces ignorants là je lance un défi : nulle part dans le Coran vous ne trouverez la lapidation comme sentence ; le Coran l’a effectivement abrogée. Quant aux supposés 2 ou 3 hadiths qui en parlent, ils ne pourraient être que faux, car aucun hadith ne pourrait abroger un verset coranique ; que l’on nous rapporterait même un milliard de hadiths défendant la lapidation et s’opposant avec le verset parlant de flagellation ils ne pourraient être que FAUX.

    Ceci dit, revenons à l’Evangile et à l’affaire des pharisiens, de Jésus et de la prostituée.

    En fait, Jésus (que le Salut de Dieu soit sur lui) n’avait jamais interdit la lapidation.

    Oui, mais on me répondra que lorsque les pharisiens lui ramenèrent la prostituée et lui demandèrent son avis pour la lapider il leur répondit : Que celui qui n’a jamais pêché lui jette la première pierre.

    Qui donc pourrait voire dans une telle phrase une condamnation franche et réelle de la lapidation ?!!!!!!

    Objectivement : ce n’en est pas une.

    Il faudrait contextualiser tout le scénario pour se rendre en toute objectivité que Jésus n’avait point condamné la lapidation.

    Je m’explique.

    En fait, chez les juifs l’adultère a lieu uniquement quand un homme (marié ou non) couche avec la femme d’un autre, et donc quand une femme mariée couche avec cet homme là.

    Si un homme couche avec une femme non mariée ou avec une prostituée (et vice versa), il n’y a pas d’adultère pour aucune des deux parties homme et femme.

    Or que firent les pharisiens ?!!!!

    Ils voulaient se jouer de la tête de Jésus et le mettre en ridicule, et lui ramenèrent à cette fin une prostituée (seule) pour la faire juger par lui sous l’accusation d’adultère afin de le tenter (alors que déjà dans une relation adultérine il y a deux parties).

    Conscient de leur subterfuge juridique (et de la non constitution selon leurs propres règles d’un cas d’adultère) que leur répondit Jésus ?!!

    Il leur rétorqua : Que celui qui n’a jamais pêché lui jette la première pierre !

    Qu’entendait-il par le fait de "ne jamais pêcher" ?!!

    En fait, Jésus leur insinua ironiquement : que celui qui n’est jamais allé aux putes parmi vous jette à cette "innocente" prostituée la première pierresmiley

    Ils se rétractèrent tous, insultés, trainant leur propre culpabilité derrière eux. smiley



  • 6 votes
    Paradisial Paradisial 24 juillet 2010 02:26

    Les négriers sont restés toujours les mêmes, la seule différence aujourd’hui c’est qu’ils délocalisent.



  • 7 votes
    Paradisial Paradisial 24 juillet 2010 02:03

    Au sortir de la guerre la France importait de la main d’œuvre soumise et à bas pris de ses colonies d’antan. Certains étaient embarqués vers l’autre rive sans leur consentement, comme d’autres avant eux avaient été embarqués auparavant pour combattre les nazis, sans l’avoir décidé ni choisit non plus.

    Serviles et dociles, les anciens avaient bel et bien participé à l’effort de reconstruction de l’après guerre, et de leur façon, aux trente glorieuses.

    Alors qu’il participaient à la construction de grandes agglomérations et à l’extension des chemins routiers et ferroviaires, pas mal d’entre eux furent logés dans presque des bidonvilles. Vinrent par la suite les fameuses SONACOTRA.

    Mais oh que non, il ne fallait pas leur accorder davantage : ni les marier avec les filles de l’autochtone, ni leur accorder d’être rejoints par leurs épouses. Ils n’auraient dû que se suffire de masturbation ; ils n’étaient pas assez humains pour mériter le mariage, c’est cela, missiou.

    Que je trouve déplorable le sort des vieillards qui pourrissent encore en ces jours dans les SONACOTRA ; déshérités et grandement déshonorés (par leur extrême pauvreté) qu’ils n’osent même plus revenir à leurs pays d’origine.

    Le délabrement de l’état social que vivent certains, en banlieues paupérisées, n’est pas plus enviable non plus, indigne autant de la France que des pays d’origine. Le capitalisme croyait pouvoir disposer éternellement de forçats sans avoir à les importer ; il fit alors le nécessaire pour entretenir une fine misère sur place des plus pernicieuses et durables.

    Quel éveil culturel ou sursaut de conscience fallait-il espérer d’une masse issue de sa grande majorité de campagnes de pays pauvres, mise ainsi dans de telles conditions (malgré les soi-disant alléchantes couvertures sociales / carottes et suppositoires à la fois) !!!

    Autre le nivellement des salaires par le bas, et la satisfaction des besoins en travail peu qualifié et sans mérites, l’un des grands avantages de cette politique est de pouvoir se servir de cette masse recluse et mise au ban pour retourner une partie de la population contre une partie quand la conjoncture se retourne et que sa se passe très mal. Facile dès lors de susciter les relents identitaires et de se chercher des boucs-émissaires que de chercher les vrais coupables qui délocalisent, volent et bradent leurs nations aux lobbies et aux argentiers.

    En dressant cet état je ne déculpabilise nullement les victimes de cette grande manipulation, de quelconque des deux bords seraient-elles (ceux de banlieues et ceux d’en face).

    Il y eut deux boomerangs : celui du colonialisme, plus celui du capitalisme très pernicieux et sauvage. Les chefs d’orchestre c’est pas dans le parlement qu’ils siègent, mais plutôt en arrières coulisses. Le politicien n’étant qu’un complice exécutant.

Voir tous ses commentaires (20 par page)

Les thèmes de l'auteur

Islam Médias Tariq Ramadan Politique


Publicité


Publicité


Palmarès

Publicité