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  • 2 votes
    Piotrek Piotrek 26 février 2015 18:32

    Ils veulent un capitalisme fidèle à ses idéaux de base : que chacun soit rémunéré en fonction de son succès et donc de sa contribution à la société.

    Petit problème 1) : c’est moins réalisable que le communisme car le capitalisme raisonne dans un monde aux ressources infinies.

    Petit problème 2) : Le capitalisme ça serait bien si ça ne serait pas vicié par la boulimie de certains. Le communisme serait bien si il n’entraverait pas totalement l’esprit d’entreprise.

    Je suis communiste par simple choix logique, par simple choix pratique et ça n’engage que moi. Et j’aime bien les econoplast, comme tu dis, car ils arrivent à nuancer et donc à découvrir toutes les petites perversions de leur système rêvé.

    Le marché du pétrole est un exemple parfait du vice du capitalisme idéal : Des mecs pleins de thune sapés comme de papes qui décident combien tu peux rouler avec ton plein, qui décident qui va mourir et qui va vivre... le tout motivé par la longueur de leur yacht.



  • 1 vote
    Piotrek Piotrek 14 février 2015 22:17

    Papahollandréou...

    Très fort comme expression ! Tellement vraie et révélatrice



  • 4 votes
    Piotrek Piotrek 14 février 2015 22:10

    le problème c’est le croisement idéologique souverainiste avec l’esprit école de commerce. Ca se détecte aisément dans l’emploi du vocabulaire, policé et gavroche à la fois. "...hallucinant de l’intérêt supérieur de l’état..." "bravo les cocus"

    L’horloge Louis Philippe sur la cheminée au feu crépitant fait son effet, mais l’esprit ne colle pas à l’idée. Il parle de l’armée française comme de ses propres pions, des services de renseignement français comme de sa petite main (il a été anobli pour parler comme ça ?)

    C’est comme associer bréviaire à patriote. Dans notre époque, c’est un anachronisme, ça colle pas. C’est comme associer mousquet à police municipale à une époque où la menace de l’intégrité de la France c’est le high frequency trading.

    Comme on a pas invité Marine LePen donc c’était une grosse manip politique... Sus aux sarrasins ! hahahahaha... bande de losers, ma baïonnette politique... mot de Cambronne !



  • 1 vote
    Piotrek Piotrek 14 février 2015 21:03

    justement, la mouche.

    Si la majorité s’exprimait vraiment, aurions-nous la garantie d’une parfaite équité ? telle est la question... C’est vrai uniquement si l’ensemble et donc la majorité n’est pas conne !

    La question mérite d’être posée quelle qu’en soit la finalité de celui qui la pose.



  • 1 vote
    Piotrek Piotrek 14 février 2015 20:32

    je ne la crois pas au même niveau de potentiel en chaque individu. Je pense que nous nous perdons dans la considération d’une humanité homogène, en tablant en quelque sorte sur la dilution des moindres capacités dans le bain des plus grandes

    Réveiller la curiosité c’est très simple : proposer un raisonnement cohérent qui force l’interlocuteur à changer de perspective sur ce qu’il sait ou croit savoir.

    Donc, celui qui sera le plus réceptif ou le plus capable à un changement de perspective sera la personne avec les plus fermes certitudes. Les extrémistes obtus sont donc les plus simples à faire douter ou relativiser. Pas parce qu’ils sont moins cultivés mais parce que leur engagement est l’expression de leur colère, qui est toujours justifiée, mais pour de mauvaises raisons.
    Nous mêmes, avec notre culture d’ouverture, nous nous enterrons facilement dans les plus évidentes des contradictions.

    Malheureusement, comme notre culture capitaliste aguiche la facilité, c’est en définitive les plus grandes capacités qui se raréfient et que l’on dilue parmi les moindres, sous couvert d’une égalité de façade que les gens ont fini par intégrer, mais que l’on ne parvient plus à assumer.

    Absolument, mais nous entrons dans une période de crise qui comme je l’ai dit précédemment révèle ceux qui ne perdent rien dans une phase ou tout le monde devrait perdre. Et donc met en lumière les grossières différences d’équité du système.
    Sincèrement : si je n’avais pas tout perdu, je serai toujours blotti dans mon confort quotidien, sans me poser de questions. Je ne serai tout simplement pas là à dire ce que je dis. Mais nous sommes de plus en plus à nous poser des questions, soit parce que nous avons tout perdu, soit parce que nous avons étés trompés par des fausses promesses, soit parce que nous nous sentons pas accomplis par ce que la société nous offre comme objectifs.

    Du coup j’envisage plus les évènement d’un point de vue mécanique que d’un point de vue culturel comme vous le faites je pense Eric. Les promesses d’égalités ou d’équité ne tiennent que lorsque tout va à peu près bien. Les jeunes l’ont très bien compris, surtout grâce à des indices quotidiens, quand on leur parle d’écologie et qu’on leur demande de descendre les poubelles : il naît un conflit fondamental que nous, les vieux privilégiés, nous sommes habitués à ignorer.

    Donc j’ai, par la mécanique des choses, plus confiance que vous Eric.

    Pour répondre aussi à l’auteur, cet aspect mécanique des choses, ces vecteurs irrésistibles, ces équilibres instables crées par l’homme, ce besoin d’accomplissement de l’individu avant sa mort... ça vous donne autant la foi que ça vous l’enlève ?

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