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poetiste

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    poetiste 19 mai 2011 19:24

    Comme ils défendent bien leur privilège de subjectivité médiatique ces deux là ! Mais voilà, la subjectivité n’est pas ce que l’on attend d’eux car ça ressemble comme deux gouttes d’eau à prêcher pour sa chapelle.
    Évidemment, si je prêche pour une démocratisation de l’information, pour l’ interactivité, ils vont avoir peur dans leur cuisine.
    Pour vendre ou être écouté, il convient de plaire dans une polémique spectacle, de se donner une importance, question de notoriété.
    Mais on s’en fout, on a le NET et tant pis si Denizot parle de la "poubelle du NET", approuvé par Apathie, la caravane avance, l’information unilatérale n’a pas su garder son objectivité, son indépendance par rapport aux magnats de la presse.
    Quand par hasard je tombe sur leur débats, je me demande s’ils ne font pas le spectacle et s’ils ne sont pas en voie d’extinction.
    La vente des journaux a chuté mais ils ont encore le temps de se reconvertir, ces tenants du débat spectacle.
    Ils sont acculés à s’améliorer, se transformer car je trouve de très bonnes choses dans ce qu’ils appellent notre "poubelle". La libre expression pour tous. A nous d’en donner la meilleure qualité.



  • 2 votes
    poetiste 19 mai 2011 15:40

    Journal de personne, sans être entreprenante, tu me séduis par le niveau que tu relèves sur ce forum. Tu parles du for intérieur de l’homme qui n’est pas si fort que ça : tu le connais.
    Et le double. Évidemment qu’on a un double qui se planque quelque part dans le bulbe céphalorachidien, héritage de l’antique tyrannosaure.
    Ceux qui invectivent, ceux de la haine, occultent cette part d’ombre. Ils sont les inquisiteurs qui voudraient se parer de l’habit de lumière. Attention : danger ! Ils sont très loin de l’avoir gagné.
    Ce ne sont pas leurs paroles qui sont inquiétantes mais leur simplisme qui confine à la complexité qui est confusion , faute de pouvoir réfléchir comme on respire : profondément.
    Ceux qui injurient n’ont pas écrasé de leur talon la tête du serpent et sont restés à la surface des choses. Ils n’ont pas mis leur vie sur la table de la vie, ils se protègent.
    Toi, tu prends le risque de l’aventure, tu lui donnes ton écot. Tu sais que l’injure est comme l’écho, elle nous reviens toujours, elle nous identifie.
    Merci pour tes textes, c’est un ravissement.



  • 1 vote
    poetiste 19 mai 2011 14:56

    Mais non Jean Pierre ! DSK avait fait exactement ça avec l’affaire du MNEF, il avait démissionné pour pouvoir se défendre.



  • 3 votes
    poetiste 19 mai 2011 09:59

    Victimes.

     

    Revenir à la simplicité, à l’évidence. Tom a parlé juste. Si on tombait à la rue et que l’on pouvait en sortir aussi vite, ce serait trop simple.

    En fait le traquenard commence au moment ou on y tombe, c’est le point de non retour et un autre point de non retour vous y attend : l’alcoolisme ou la drogue, celui-là : définitif..

    L’exclusion vous entraîne dans un phénomène à caractère exponentiel : plus on s’enfonce, plus on s’enfonce. Il pourrait y avoir rémission si on n’entretenait pas cette exclusion par une assistance dans le plus mauvais sens de la « charité ».

    On passe devant le sdf ; on lui donne une pièce et mieux, on lui parle et on lui dit : « bon courage ! », sous entendu : « je ne peux rien pour vous ».

    On ne veut pas éradiquer l’exclusion, elle semble rassurer ceux qui ne sont pas encore tombés et les plus nantis, en particulier. La banalisation de l’exécrable s’est installée dans notre démocratie.

    Je peux en parler en connaissance de cause, ayant travaillé six ans auprès des personnes sans domicile, payé par la DDASS. J’ai pris un F4 pour les recevoir et « vivre avec ». Je vais vous dire une chose indécente : je partageais mon salaire avec eux.

    Tout cela m’a coûté ma place et je m’en réjouis. Non, je ne suis pas maso : pas d’angélisme ! Vouloir le partage est une lutte qui, si elle ne nous apporte que des satisfactions, n’est qu’une gestion du malaise, de la misère.

    Et mon travail a consisté pour beaucoup à de l’assistance aux mourants : sacré travail décapant, travail dans l’urgence.

    Tom a parlé juste, je ne peux mieux dire et il nous interpelle tous.

    Si vous saviez l’aventure d’aller vers ceux qui souffrent ! Ceux qui connaissent cette aventure en l’homme savent comme on y est forgé et comme la vie reprend sens.

    Respect à mes camarades morts à la rue, ils ont plus de place dans ma considération que les politiques. Pourtant le commissariat au plan a fait une analyse très pertinente de l’exclusion, mais sur le terrain : on laisse mourir.

    Je n’ai pas de conseil à donner ; je les aimais, c’est tout !

     

     



  • 3 votes
    poetiste 19 mai 2011 08:38

    Seul et à l’abri, le lâche se lâche.

     

    Il est vrai que, sachant le nombre d’ennemis inconditionnels et haineux qu’il a, BHL devrait éviter de s’exprimer tous azimuts car rien ne lui est pardonné.

    Chez les esprits étroits, il est le diable, le sioniste, cent pour cent mauvais. On ne lui reconnaîtra pas une seule qualité.

    Ce manque de nuances caractérise bien la violence anonyme et lâche qui peut se dévoiler sur un forum. Allez ! On liquide ! On lapide !

    Un forum agoravox plus intelligent, ça vous tente ? Car sans autocritique, nos propos ne sont que coups d’épée dans l’eau.

    L’animosité et la haine, ça se soigne quand c’est obsessionnel. Juste une question de maîtriser un peu ses instincts pour rester crédible.

    Paix sur terre aux hommes de bonne volonté !

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