Il suffit de lire l’ouvrage de Laurent Mauduit (Main-basse sur l’information) pour comprendre que les médias français sont vendus au grand capital ; une banque, le Crédit mutuel, est même propriétaire de la plupart des titres de l’Est de la France (« EBRA » : Est-Bourgogne-Rhône-Alpes). Les prétendus journalistes ne sont donc que des valets des grands capitalistes et des oligarques. Partant de là, nulle objectivité dans l’information ne doit être attendue de leur part.
Voir des banquiers gérer l’information est aussi logique qu’un footballeur rédigeant un traité de physique nucléaire.
Étude très fouillée et très intéressante. Un détail amusant : dans sa pièce Un fil à la patte, Feydeau a introduit un personnage ridicule, le compositeur Bouzin (l’ancêtre d’Agnès Buzin). Quelques paroles : moi, j’pique des épingues dans les p’lotes des femmes que je distingue . Il pique, il pique déjà ! Feydeau ne dit pas si les « épingues » sont en alu.