@maQiavel Le bois de chêne de 30 ans et a fortiori de 850 ne brûle pas, non, sans une forte charge calorifique et sans un accélérateur incendiaire physico-chimique. Inutile d’ânonner les mêmes bêtises abstraites, sans aucun rapport avec rien, d’un bout à l’autre du fil, juste pour "passer pour".
@maQiavel Couillon candide si tu préfères et producteur de vide, blablateur, politicien, radical-socialiste, prouviste aussi...
Le prouviste que j’ai découvert essentiellement sur Brut est généralement un analphabète, ce qui n’est pas ton cas. Mais c’est la même chose. Il ne sait rien, tout lui est neuf à chaque instant, il fait confiance aux autorités, il ne pense pas et il a besoin de preuves pour à peu près tout, preuves purement formelles. Il lui faut une preuve que le bois ne brûle pas en milieu confiné. Le citoyen rousseauiste parfait (sans cheminée).
@maQiavel Je n’accorde en effet aucun crédit à des journaux globalistes anti-nationaux, possession d’une brochette de millionnaires/milliardaires, qui plus est, subventionnés par un Gouvernement globaliste anti-national.
Vous les couillons de la Lune, vous faites toujours semblant de la découvrir, la Lune.
"Et après ?" Je lis ça partout de la part des bobos candides qui ne veulent pas voir de leurs yeux ce qu’ils voient, ce qui serait choquant et ferait un peu peuple. A part du bois de chêne, du pin dans la flèche, de la poussière, éventuellement des mégots, il n’y avait rien d’autre dans cette charpente et pas de quoi provoquer un brasier bien brillant, ni même un début d’incendie en fait.
C’est toi le bobo candide qui veut passer pour un rationaliste sérieux et un citoyen pondéré qui raconte n’importe quoi : -il n’y avait pas d’autres matériaux (quoi ? des bidons d’essence pleins à rabord ?). -Le chêne de 800 ans ne s’enflamme pas plus en milieu confiné qu’à l’extérieur. Une charpente moyen-âgeuse n’est pas exactement un milieu confiné et on doit y cailler l’hiver comme y étouffer l’été. -"Non par le milieu mais par le bout"... je laisse les lecteurs d’Agoravox se gausser de cette expression d’une niaiserie fantastique.
J’aime bien celle-là, en effet. On n’y voit pas que le bois démarre "par le bout", malgré les étincelles, le court-circuit, la paille, les solives, les produits chimiques. On y voit que le feu n’y démarre pas ou ne se propage pas.
"Par le bout", c’est la nouvelle thèse abstraite des rationalistes déconstructivistes anti-conspirationnistes ?
Même le pin d’un siècle de la flèche, ça ne doit pas être facile à faire démarrer... D’autre part, les images de l’incendie montrent le toit en train de (bien) brûler, c’est-à-dire le voligeage, le chêne le moins fort sous la toiture. Mais y avait-il des câbles usés par là, des mégots de cigarettes, des chiffons avec du solvant... ?