A mes yeux,il est important de ne pas tomber dans une compétition victimaire .L’esclavage de certains ne doit pas excuser ou minorer l’esclavage d’autres .Il est essentiel de rappeler certaines réalités historiques .L’esclavage ne se limite pas à la traite négrière, à l’oppression d’une certaine catégorie vis à vis d’une autre,à une seule période de l’histoire.Actuellement,l’esclavage renvoie malheureusement uniquement à l’exploitation de la population noire par une population blanche et alimente donc les tensions entre ces 2 communautés et nourrit le racisme.
Plus facile de distribuer la pilule que de s’interroger sur cette sexualité très précoce chez les adolescents.Les grossesses précoces ne surviennent pas par accident.
Evidemment,le gouvernement,droit dans ses bottes,continue à terroriser la population en toute impunité.Talleyrand,"le diable boiteux" pensait qu’il fallait agiter le peuple avant de s’en servir.Rien de plus commode que cette épidémie pour faire gober aux Français toutes les mesures les plus contraignantes pour soit disant les sauver de la mort .Le chemin de l’enfer est pavée de bonnes intentions.
Ceux qui osent douter de la parole de nos "maîtres" sont qualifiés par les kapos de service de complotistes ,de conspirationnistes . Un peu trop simpliste de vouloir stopper tout débat,d’éviter toute critique car finalement,cela alimente encore plus la suspicion ,le doute sur ce qui est officiellement colporté.Il est essentiel de douter,de s’interroger dans un monde où la communication a remplacé l’information.Cet appel pose les questions essentielles sur cette crise sanitaire et son traitement par les autorités.Il est de notre devoir de demander des comptes à ceux qui ont failli,qui ont menti,qui ont envoyé des soignants travailler sans matériel de protection......plus de 30 000 personnes sont mortes en France alors que des pays voisins ont connu une situation moins calamiteuse.
Laurent Alexandre se prenait pour un Dieu alors qu’il n’est qu’un inutile ,un misérable nuisible ....Il mérite de retourner dans l’anonymat,dans le peuple qu’il méprise.