On aurait pu être pédagogue et expliquer ce statut qui permet le travail sur de l’évènementiel, mais aussi en donner les limites. Le musicien qui fait des reprises n’est pas sur le même registre que l’auteur compositeur pourtant ce sont deux artistes. Et j’en passe. http://vosdroits.service-public.fr/professionnels-entreprises/F2261.xhtml
Mais non, une mobilisation de plus, du coup ce combat perd tout son sens aux yeux du peuple qui lui aussi en aurait à dire mais s’est fait acheter à coup de consommation. Et pour continuer à consommer si on lui dit que c’est de la faute des intermittents, et que ces intermittents comptent sur leurs syndicats pour exprimer quelquechose, le tour est joué.
PS (rien à voir mais ça soulage !) : Et il faut bien que les babyboomers à la retraite continuent à se demander où ils poseront leurs camping cars cet été... Tiens de ce statut là, on en parle moins ! Mais le jour où il sortira dans la rue pour sauver ses enfants de sa bêtise... C’est qu’il n’y aura plus de camping !!!!!!!!!!
Bonjour, merci pour la vidéo mise en ligne. Elle montre pour moi l’erreur terrible que mes chers collègues enseignants commettent.
C’est l’histoire du contenant et du contenu. Plutôt que d ’être attentifs à ce que l’on apprend et comment on l’apprend, les enseignants se mobilisent sur le contexte, qui reste certes très criticable, ils se focalisent sur le contenant, les rythmes, les locaux, les qualifications des intervenants.
Mais l’enjeu de l’école c’est l’acqusition, de connaissances grâce à la transmission du savoir dans le but d’avoir des élèves compétents, de contenus en somme.
Et là, c’est "qui qui" se régale ? Donc en résumant la situation, certains enseignants manifestent contre le contenant (les rythmes), et certains parents contre le contenu (ABCD de l’égalité). Avec cela pas la peine de débattre sur ce que l’on apprend , vraiment à l’école, lire, écrire, compter, vivre ensemble. Avec cela, pas la peine d’émettre des contenus utiles pour le futur, ni de savoir comment on apprend en 2014 pour être ministre. http://www.lemonde.fr/education/article/2014/02/20/vincent-peillon-repousse-d-un-an-les-nouveaux-programmes-scolaires_4370719_1473685.html
Le coup du double épouvantail. Plutôt que de regarder ce qui pêche vraiment pour le futur de nos enfants (dette, emploi, santé , qualité de vie future) et de bâtir le projet scolaire en conséquence, l’actualité montre que les gens se mobilisent contre les rythmes et l’ABCD de l’égalité.
Pendant ce temps, il y en a qui proposent un travail de réécriture des programmes : http://www.inattendu.org/
Il existe les programmes précédents : ftp://trf.education.gouv.fr/pub/edutel/bo/2002/hs1/hs1.pdf
Mais non, on garde ceux de 2008 un an de plus, histoire de trouver d’autres épouvantails, et de continuer de former des consommacteurs de la déshumanisation ambiante.
Merci pour la vidéo. Au début, Vial nous parle du cas David Reimer et du psychologue John Money. Ce serait une des premières études "référente" sur le genre. Et bien, si ça se finit comme pour David Reimer, on en a pour 38ans... http://fr.wikipedia.org/wiki/David_Reimer
Trève de plaisanterie, ce serait bien une petite vidéo sur cette personne David/Brenda Reimer, je cherche une sous-titrée en français pour la diffuser, en attendant :
Le but de mon intervention est de dire qu’il faut sortir de la pensée binaire (bien, pas bien) non argumentée.
Il faut sourcer, argumenter pour convaincre et aussi utiliser un ton appaisé pour apprécier la différence toujours dans le but de convaincre.
Nous avons la même condition sociale je pense, pour vivre mieux il faut s’appréhender, et diriger notre énervement vers le haut et non horizontalement (là j’explique mon truc des oligarques).
Essayons de prendre le temps de douter, d’imaginer une troisième voie pour chaque obstacle qui se dresse devant nous. nous ne sommes plus à cela près.