Pauvre minet, il ne sait plus quoi inventer pour sortir la tête du caca dans lequel il s’est fourré. Il y a de quoi sortir de ses gonds quand on l’entend qualifier son récit autobiographique incitant au tourisme sexuel de livre moral. L’argument est bien entendu contraire à la vérité décrite aux travers ses exploits sublimés par la profonde perversion qu’il assume jouissivement par l’exploitation sexuelle de la misère humaine portée par des gamins (garçons) Thaïlandais. Sa création littéraire évoquant ses pérégrinations régulières au coeur même des foires d’empoigne aux esclaves à peine mature ne peut inspirer que dégoût, révolte, rejet, répugnance et récrimination. L’animateur du dimanche lui prête honteusement la main en acquiesçant béatement, avec une formidable duplicité, à ses propos de sioniste révulsant. Ses menaces de poursuite judiciaire sont de la poudre aux yeux car un proçès équivaudrait à relancer les polémiques sur sa détestable figure où on y lit toute les flétrissures et les souillures qu’il a infligées à des gamins démunis.
Il essaye tant bien que mal de se défendre en invoquant une prétendue impossibilité d’user du terme "garçon" qu’il accole malenconteusement à "femme" au lieu de fille. Celà démontre, une fois de plus, qu’il est un manipulateur inperturbable qui se joue des mots comme des gamins Thaïlandais et des Français courroucés qui exigent son limogeage. Le sous-Préfet de sainte a été limoger pour avoir écrit une critique contre les crimes de l’Etat d’israël dans un média internet (liberté d’expression bafouée) alors que des violeurs et des adeptes du tourisme sexuel infantile sont élevés au rang de haute dignité par l’Etat Français. Nous avons mal à la France.