En ce qui concerne l’environnement, les PNI s’en occuperont spontanément quand ils seront plus développés. Pour le moment ils ont d’autres chats à fouetter, en sortant leur population de la misère où les avait jeté le socialisme et le dirigisme. idem pour leurs revenus, qui croissent en flèche.
Etonnant discours de ceux qui hurlent au coté des tiers mondistes et qui hurlent au coté des protectionnistes socio environnementaux. On ne peut pas à la fois souhaiter le développement des pays pauvres et leur interdire de nous concurrencer avec les avantages qu’ils ont dans un 1er temps : travailler moins cher que nous.
La faiblesse du cout de la main d’oeuvre des pays pauvres et la sous évaluation des monnaies des PNI (qui a retardé leur consommation, favorisant notre niveau de vie présent au dépend de notre niveau de vie futur), sont une partie de l’explication du surendêtement occidental. L’autre partie est la lourdeur et la rigidité de nos démocraties sociales. C’est le couplage des 2 qui a engendré la crise économique mondiale majeure que nous connaissons actuellement.