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  • 1 vote
    xavdr 20 août 2010 19:36

    D’ailleurs c’était plus que de simples sondages : c’était des consultations informelles ou tous les membres des salles de rédaction étaient invités à voter. Initiatives sympathiques mais choquantes dans les résultats qu’elle révélaient...



  • 1 vote
    xavdr 20 août 2010 19:21

    A l’époque cette information avait été publiées dans les grands médias.

    Depuis j’ai eu confirmation par des sources plus directes.



  • 3 votes
    xavdr 20 août 2010 00:32

    En ce qui concerne l’environnement, les PNI s’en occuperont spontanément quand ils seront plus développés. Pour le moment ils ont d’autres chats à fouetter, en sortant leur population de la misère où les avait jeté le socialisme et le dirigisme. idem pour leurs revenus, qui croissent en flèche.


    Etonnant discours de ceux qui hurlent au coté des tiers mondistes et qui hurlent au coté des protectionnistes socio environnementaux. On ne peut pas à la fois souhaiter le développement des pays pauvres et leur interdire de nous concurrencer avec les avantages qu’ils ont dans un 1er temps : travailler moins cher que nous.

    La faiblesse du cout de la main d’oeuvre des pays pauvres et la sous évaluation des monnaies des PNI (qui a retardé leur consommation, favorisant notre niveau de vie présent au dépend de notre niveau de vie futur), sont une partie de l’explication du surendêtement occidental. L’autre partie est la lourdeur et la rigidité de nos démocraties sociales. C’est le couplage des 2 qui a engendré la crise économique mondiale majeure que nous connaissons actuellement.




  • 3 votes
    xavdr 20 août 2010 00:23

    Cette terminologie est fallacieuse.

    Dumping = prix inférieur au coût de revient. Si vous avez une main d’oeuvre bon marché vous pouvez vendre à bas prix sans dumping. Au fait pourquoi la main d’oeuvre des PNI est elle bon marché ? C’est très simple : parcequ’elle était miséreuse en sortant de l’époque du dirigisme ou de sa caricature omnipotente le socialisme (le vrai, au sens académique traditionnel, celui du collectivisme total), qui jadis empêchait la libre ereprise dans d’immenses pays comme la Chine et l’Inde. C’est le libéralisme qui a apporté la prospérité à l’Occident, avant de s’affaiblir sous le poids de la démocratie sociale, avec son capitalisme d’état et sa démagogie crapuleuse qui conduisent à de massifs privilèges et subventions. 



  • 4 votes
    xavdr 20 août 2010 00:06

    Bercav...


    > "malheureux libéraux sur le dos desquels on met toute la misère du monde"


    Ben oui. Par exemple il n’y a aucun libéraux au gouvernement, les contributions obligatoires prennent 60% du PIB français etc. Pourtant c’est bien le libéralisme qui a fait la grandeur de l’Occident, mis fin aux famines, permis le développement technique, apporté la croissance la plus considérable de l’histoire de l’humanité, etc.


    > "C’est à cause de l’interventionnisme de l’état que les banques américaines spolient les emprunteurs ?"


    Ben oui. La crise des subprimes a été fabriquée par la puissance publique US. Pour être plus précis les banques ne spolient pas les emprunteurs : elles avaient l’obligation de service public de les laisser collectivement se surendêter.


    C’est la puissance publique US qui a imposé un faisceau de contraintes réglementaires aux banques rendant inévitable la crise des subprimes. 

    1- Depuis des décennies la puissance publique pilote les volumes globaux d’entêtement privés via la banque centrale et les réglementations bancaires. La fiscalité est défavorable aux capitaux propres et favorise l’endêtement des banques jusqu’aux ratios planchers fixés par la puissance publique, régulant indirectement la masse monétaire. La planche à billet et les taux d’intérets régulent directement la masse monétaire.

    2- Une achitecture mise en place sous les administrations démocrates notamment Clinton a forcé le crédit social en zones défavorisées. Outre des ratios, était obligatoire les mauvaises pratiques exigées par les groupes associatifs communautaires. En contrepartie la puissance publique US a accordé au banques des facilités de refinancement par titrisation via les sociétés de capitaux privé mais de service public Fanny Mae et Freddy Mac. Ces 2 giga sociétés étaient gérées par la gauche US, garanties implicitement par l’état et non sujettes à l’impôt. Entre 2 scandales de comptes falsifiés elles ont corrompu suffisamment de parlementaires de droite pour que leur gabegie du refinancement irréaliste du crédit ne soit stoppées qu’en 2005.


    En réalité la crise économique mondiale que nous vivons n’est pas simplement celle des subprimes, c’est plus globalement la crise du surendêtement occidental. Les subprimes ... c’est le 1er maillon à avoir craqué, le plus faible, mais ce n’était pas le plus important. Entre 1995 et 2005 l’immobilier a doublé aux USA et en UE (triplé en UK, Irlande, Espagne, doublé en France, cru sans excès en Allemagne) et la masse monétaire elle aussi a doublé aux US en UE/Euro et en UK. C’est beaucoup trop et cela ne correspond pas à la croissance réelle. En réalité l’immobilier a servi d’éponge à liquidités. Les pays nouvellement industrialisé ont fortement sous évalué leurs monnaies et pour cela ont acheté et stocké des titres occidentaux (devises, bons du trésor, titres para publics de type Fanny Mae et Freddy Mac, etc.). Cet afflux de liquidités en occident a été amplifié par le jeu des résonnances de la croissance, et engendré une fausse impression d’euphorie économique, avec une croissance en réalité non soutenable car fondée sur des malinvestissements mondiaux et des surconsommations occidentales. Les états occidentaux ont favorisé le crédit immobilier pour éponger les liquidités des petits propriétaires, et augmenté démagogiquement leurs dépenses sociales via et leurs déficits publics au bénéfice des personnes modestes. Comme les pays occidentaux ont des législations sociales rigides, ils n’ont pas pu s’adapter à la sous évaluation des monnaies des PNI et plus généralement à leur concurrence industrielle.


    Bref il s’agit d’une crise ETATIQUE, qui consacre la chute de la démocratie sociale occidentale et la montée des PNI certes non libéraux sur tout un tas de plans, mais moins lourds dans leur fiscalité explicite et leur réglementation notamment sociale (fiscalité implicite).



    > "A cause de l’état aussi que Goldman Sachs truque les comptes de la Grèce"


    Ben oui. L’état Grec surrendêté a voulu biaiser ses comptes pour satisfaire aux exigences de la confédération des états de l’UE. 


    > "sûrement aussi à cause de l’état que les paradis fiscaux qui voient transiter environ un tiers des échanges mondiaux"


    Oui, bon les échanges papiers cela ne veut pas dire grand chose.

    Ceci dit oui, les gens fuient le vol orchestré par la puissance publique.

    40% de cotisations sociales puis 50% d’IR, puis 20% de TVA, sans compter l’ISF et autres, cela fait que ceux qui ont un peu d’argent et pas la capacité de s’organiser pour fuir payent plus de 80% de contributions obligatoires ce qui est monstrueux. Cela porte un nom : la spoliation légale, c’est à dire la démocratie crapuleuse où des électeurs corrompus élisent des hommes politiques démagogues (et eux aussi corrompus) pour voler à leur place dans la poche du voisin grâce à l’impôt monstrueux.


    > "Arrêtez un peu svp. Le libéralisme est LA doctrine économique étatique"


    Avec 80% d’impôts sur les classe moyennes ? Avec le droit social incroyablement contraignant qui incite les gens à se pourri la vie pour le contourner ? Avec la soviétisation de la monnaie ? Non.


    La doctrine étatique est la démocratie sociale qui en pratique est un couplage du capitalisme d’état (favorisant les indutriels et medias généreux amis du pouvoir politique), couplé à la démagogie crapuleuse (favorisant les classes d’électeurs oganisées), ces deux forces s’associant pour voler les autres électeurs via l’impôt et les privilèges.


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