Wikipédia : "Au sens large, le terme fascisme a pris un sens générique. Il s’est étendu à tout mouvement politique s’appuyant sur un pouvoir fort, les métiers organisés en corporations, l’exaltation du sentiment nationaliste, le rejet des institutions démocratiques et libérales, la répression de l’opposition et un contrôle politique extensif de la société civile." On peut discuter sur les autres points, mais Marine Le Pen n’a jamais remis en cause les institutions démocratiques, ni son père d’ailleurs (contrairement à tous les traîtres - UMP, PS, Modem, Verts - qui ont avalisé la ratification parlementaire du Traité de Lisbonne en 2007, rejeté en 2005 par 55% des Français). Elle n’a jamais voulu non plus l’interdiction d’un quelconque parti politique adversaire, contrairement à Mélenchon, qui veut interdire le FN. Toujours d’après Wikipédia : "Dans son acception la plus large, le terme est employé pour disqualifier l’ennemi politique. Cette acception a été employée par les Soviétiques durant la guerre froide, dans le cadre de la « tactique du salami ». Dans la discussion politique contemporaine, le terme fasciste continue d’être employé comme une injure." Quant à Mélenchon, ses prises de position sur la Chine http://www.rue89.com/chinatown/pour-melenchon-il-ny-a-jamais-eu-dinvasion-chinoise-du-tibet et Cuba http://www.rue89.com/restez-assis/2011/01/10/melenchon-cuba-nest-pas-une-dictature-ah-bon-184793 ne sont pas sans poser quelques questions sur sa conception de la démocratie...