La tartufferie de l’extrême-gauche vit ses dernières heures de pseudo-combat idéologique... Que les sympathisants trotsko-bolchéviques (il y en eut des sincères...) fassent l’effort de lire le texte ci-dessous et éventuellement les autres épisodes grâce au site (québecois) signalé en fin d’extrait... :
"Il est intéressant de noter à posteriori les activités de quelques mythiques héros révolutionnaires au cours de l’hiver 1917.Lénine, debout parmi les balles qui sifflent, drapeau rouge déchiqueté
tenu à bout de bras, un couteau entre les dents et une grenade dans le…
Uhm ?… Euh… En fait… Illitch Ulyanov se la coule douce à Zurich, en
Suisse, au moment où les révolutionnaires risquent leurs vies dans les
rues et affrontent les polices du Tsar. C’est dans un train spécial que
le Kaiser fait transporter Lénine (son arme secrète) à travers
l’Allemagne en guerre, en compagnie de 40 de ses proches collaborateurs,
qui transitent ensuite par la Suède et la Finlande. Y a pas le feu au
lac, semble se dire ce Suisse d’adoption. Et puis il serait mal vu par
le peuple Russe que ces révolutionnaires traversent simplement le front
Allemand pour se rendre à la maison. Pourquoi passer par la Suède ?
Lénine a plein accès à un compte de la société Nestlé à Stockholm en
1917. L’affaire est révélé plus tard cette année-là par le journal Jivoe
Slovo. 2
Léon
Trotski, le brave, le courageux, l’opiniâtre Trotski, mon idole de
jeunesse, où est-il donc ? Je l’ai toujours imaginé juché sur le toit
d’une maison, en train de mener l’assaut contre de vilains capitalistes
réactionnaires, écartant les obus d’une main et soutenant les blessés de
l’autre… Ah. Uhm. Vérification faite, nooon, pas tout à fait. Léon
Trotski, pendant la révolution, se trouve à… New York ! Il a été reçu à
Wall Street par un groupe de banquiers intéressés par certains aspects
du socialisme. En apprenant la nouvelle du soulèvement menchevik, il
prend un paquebot vers la mère patrie en compagnie de 278 « Bolcheviks
». Souci ! Son navire est arraisonné à Halifax par le fier gouvernement
canadien, pas au courant des nouvelles subtilités du capitalisme,
convaincu qu’un navire plein de révolutionnaires communistes constitue
une bonne prise. C’est l’intervention directe du gouvernement
États-unien qui permettra aux Bolcheviks Newyorkais de repartir."
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