(Mince je me suis gouré de bloc de commentaire...)
Bonne synthèse sur laquelle beaucoup seront d’accord. Certains commentaires tels que ceux de Wesson ou de henocconeh ajoutent selon moi des dimension intéressantes, celles de prendre en compte la vétusté existante de certains pans du réseau ainsi que la privatisation déjà existante de fractions de l’organisation, reste à comprendre comment tout cela est lié, ce qui n’est pas de l’ordre de l’idéologie, mais bien du factuel.
"- cela signifie qu’il n’y a pas monopole, ce à quoi je ne souscris pas"
Très juste, Il faut prendre en considération que dans la mesure où le privé viendrait à faire défaut dans le maintien du service, les seuls perdants seront les usagers qui ne peuvent alors se tourner que difficilement vers d’autres structures, et ainsi perturber la bonne marche de l’économie, car la majorité des usagers sont des travailleurs. Cet état de fait s’est déjà produit sur le réseau anglais à la suite d’une privatisation massive comme le dis bien
Wesson.
"Je veux dire par la que l’on ne peut pas éternellement excuser le manque totale de qualité des services délivrés par la SNCF en nous faisant miroiter l’enfer libéral anglo-saxon !!! Et si les moyens financiers ne sont pas étrangers à la résolution d’un tel problème, il me semble obscène, de nos jours, de demander ces moyens à l’État qui croule chaque jour davantage !"
Tout-à-fait, cependant, si l’on en croit
henocconeh, qui semble connaître assez bien le sujet de l’intérieur, soutien que ces soucis sont probablement le fruit d’un long processus, d’une politique de "laisser-aller" qui ne mets finalement assez peu en cause, jusqu’à preuve du contraire, les employés de terrain du réseau (qui seraient les premières victimes en cas de privatisation car susceptibles d’être virés), mais plutôt les hautes sphères de la hiérarchie en charge du dossier (comme toujours j’ai envie de dire, mais l’on va m’accuser de faire trop d’idéologie lol).