je suis d’accord avec ce que dit cette sociologue, il va falloir faire une pause dans la croissance quantitative dans les pays développés et faire en sorte de mieux répartir la richesse non seulement entre les individus mais aussi entre les différents pays.
Comme elle le dit cela ne va pas être facile surtout quand on constate le comportement étroitement politicien de ceux qui devraient au premier chef porter ces idées en France, les verts.
Je crois également qu’il va bien falloir poser le problème de la démographie à l’échelle de la planète. pour prendre un exemple concret la crise que traverse l’Egypte est sans doute pour partie due aux comportements de ses dirigeants mais aussi au déséquilibre évident entre les ressources (alimentaires en particuliers) de ce pays et l’accroissement incontrôlé de sa population.
Si nous voulons être cohérent, l’abandon de la croissance quantitative de la consommation implique l’abandon celle de la population, cela s’est fait spontanément dans la plupart des pays dits développés, cela risque de heurter certains préjugés bien ancrés dans d’autres parties du monde.