Salut erdar
-Il faut quand même un certains temps d’adaptation pour se mettre à
niveau. Il élève un peu trop le niveau (pas
l’habitude), surtout l’univers qu’il décrit et le vocabulaire.
R /C’est sur que c’ est
difficile à suivre , il faudrait lire le capital pour comprendre ce que dit
FGrancis cousin , mais s’ il peut pousser des gens à le lire , c’ est déjà ça …
-sans le prolétariat, ce système s’effondre de lui même...
R /Tout à fait. En fait,
le prolétariat dont Francis cousin fait mention ici n’ est pas celui que l’ on
définit classiquement comme la classe obligé de vendre sa force de travail pour
reproduire son existence. La bourgeoisie n’existe plus au moment de la
domination réelle de la marchandise, elle est supplantée, digérée et annihilée par la classe capitaliste
anonyme et nomade. La définition du prolétariat dans cette phase, c’est la classe historique de ceux qui n’ont aucun pouvoir sur
l’emploi de leur existence dans la marchandisation du monde.
Le capital de Marx est bien plus subtil que le fameux bourgeois
/ prolétaire ou patron /ouvrier des
gauchistes …