Bonjour à tous,
@CauseToujours
Tout d’abord merci de prendre le temps de partager vos pensées et de répondre aux commentaires !
Je trouve dans l’ensemble vos plutôt intéressantes, même si je ne suis pas toujours d’accord avec vous... mais la confrontation des idées est une part du processus démocratique.
Par contre cela fait quelques temps que je brûlais de vous le dire, mais je trouve la forme plutôt moyenne et votre ton parfois déplacé. Vous utilisez très souvent une posture professorale, et vos jugements sont très souvent condescendants, alors que totalement inutiles dans l’ensemble de votre discours.
Vous ne semblez pas douter de votre discours et truffez vos vidéos de "évidemment", "bien sûr", etc...
Cela ne me dérange pas outre mesure, mais si vous publiez des vidéos c’est pour communiquer votre idée. Le fond est donc aussi important que la forme, mais c’est bien souvent à la dernière qu’on s’arrête en premier. Si vous ne voulez communiquer qu’aux personnes déjà d’accord avec vous, alors vous êtes au niveau de SuperZorDu92 qui stream sur Call of Duty. J’aimerai partager vos vidéos en famille ou entre amis, et je ne le peux souvent pas car je sais d’avance l’effet rebutant quelles auront sur l’auditoire.
Cependant je sais que l’exercice est difficile, et je vous remercie de vous atteler à la tâche.
@Tous
Sinon, en ce qui concerne la Dissidence.
Je suis d’accord avec CauseToujours sur le fait que Soral et Dieudonné ne m’apparaissent pas vraiment dissidents. Ce qu’ils proposent n’est qu’une petite variante du système actuel : plutôt que les sionistes, on mettra les anti-sionistes au pouvoir. Plutôt qu’une aristocratie châtrée, on mettrait une aristocratie phallocrate, etc, etc.
Soral et Dieudonné interrogent et permettent de faire le premier pas, mais si on veut évoluer il faut vite s’en débarrasser. Ils sont comme des thermomètres, utiles à la mesure du drame, inutile à la solution. Bon je mettrais un bémol sur Dieudonné qui me semble plus fin que Soral.
A mon sens, Chouard est bien plus subversif par exemple. Il propose non-seulement un moyen de lutte sans nous promettre l’idéal (nous devenons maîtres de la situation, à nous de produire notre monde ensuite) mais il propose une lutte sans lui ! C’est-à-dire qu’avant même d’envisager la lutte, la solution, il applique en les principes généraux. Lutter pour la démocratie derrière un chef est à mon sens une aberration.