@Almasy94
Mon
pseudo est Tythan et non Thytan.
C’est bien noté ; Désolé de l’écorchage.
...Hein,
j’en ai pas du tout après vous, mais ce que vous dites est
complètement con et vous êtes en fait un leurre payé par la CIA
pour tromper les Français.
Vous
déformez complètement mes propos. Je posais une simple question.
Nous
ne donnons pas de leçons mais nous posons simplement la question :
DLF dresse à peu de choses près, le même constat que l’UPR sur les
dégâts que produit au quotidien l’UE sur l’économie et la société
française. Pourquoi DLF refuse donc si viscéralement d’en tirer les
conséquences ?
http://tythan.over-blog.com/2015/12/passage-de-francois-asselineau-au-sein-d-i-tele.html
Je
viens de parcourir rapidement votre article, très à charge contre
l’UPR, qui établit de nombreuses contre vérités, et qui s’attache
plus à « dézinguer » comme vous dites l’attitude de FA
lors de l’interview au moyen de raccourçis intellectuels ou
d’étiquettes rapidement épinglées plutôt qu’à débattre, au fond
du sujet (qui était, je vous le rappelle, le programme de l’UPR pour
les Régionales, et qui, je n’insisterai pas plus, était
sérieusement construit).
" M
Asselineau ne passe pas son temps à "dézinguer" le FN et
DLF "
Manifestement
nous n’écoutons pas les même interventions ( ?) Les
interventions de FA sont essentiellement consacrées à développer
et faire connaître le mouvement UPR, et/ou à apporter un nouveau
regard sur l’actualité. Et incidemment à répondre aux questions
qui lui sont posées. Maintenant, lorsqu’il est interrogé sur ton
traitement médiatique, il est difficile de ne pas souligner le 2
poids 2 mesures qui, quoi que vous en disiez, est une réalité.
Le
traitement médiatique du FN est d’ailleurs tout sauf une
promotion.
C’est
une plaisanterie non ?
Pour ne prendre que lui, Nicolas Dupont-Aignan,... évoquent tous les sujets européens
régulièrement. François Asselineau n’a que des différences
cosmétiques sur l’UE, malgré ce qu’il clame.
Si
vous admettez que dire « l’UE est un désastre, il faut en
sortir et voici comment faire » (version FA) et dire « l’UE
est un désastre mais on va essayer de la changer » (version
NDA) sans JAMAIS répondre à vos détracteurs qui vous montrent par
A+B qu’on ne PEUT PAS changer les traités relève de la différence
cosmétique, libre à vous. Mais là encore, je crois que nous
n’aurons pas la même définition de « cosmétique ».
Mais
s’il ne l’est pas, c’est je pense en raison de son attitude
confinant au harcèlement qui a braqué ces médias.
Donc
si je vous suis jusqu’au bout, les médias sont une sorte de
courtisane qu’il convient de séduire dans l’attente d’en obtenir les
faveurs le jour où leur bon vouloir acceptera de vous donner la
parole ? J’avais une idée un peu plus démocratique et un peu
moins partiale du rôle des médias dans note pays ...
François Asselineau est un homme politique à l’importance
marginale ...
Mais
pourquoi toujours ramener la qualité d’une idée ou d’un programme à
la stature de celui qui la porte ? Si l’idée est bonne, ou,
sans même aller jusque là, si cette idée est intéressante et peut
susciter le débat, pourquoi ne pas la porter sur la scène publique
et ORGANISER ce débat ? C’est pas ça quand même le boulot des
médias ?
Car
c’est ca au fond le constat : parler de la sortie de l’UE, du
FREXIT, c’est tabou, c’est un gros mot. Enfin ca l’était jusqu’au 23
juin dernier... ;)
Le
gros problème de François Asselineau, c’est qu’il n’est pas
élu.
Idem
que ci dessus : en quoi ce statut empêche d’organiser un débat
public et de large diffusion sur les idées portées par FA ?
Ce
que je reproche à votre logique de gens « élus » ou de
« notabilité » pour pouvoir s’exprimer, c’est qu’elle
verrouille tout et empêche l’émergence de nouvelles idées (et de
nouvelles personnalités).
Alors
bien sûr, certains hommes politiques reconnus sans ambiguité comme
tels ne sont pas élus. Par exemple Macron.
Pardon,
mais là encore vous ne faites que propager une idées qu’on veut
nous faire boire comme du petit lait. M MACRON n’est pas un homme
politique. Jusqu’à récemment, il n’avait aucun programme, aucune
idée, et ce n’était qu’un ancien banquier propulsé dans un cabinet
ministériel et soutenu à bout de bras par une campagne médiatique
permanente. Si vous validez le fait de reconnaître un homme
politique parce qu’on vous le présente comme tel, sans analyser au
fond la pertinence de ses idées, sa force de conviction et de
rassemblement, voire son originalité, vous vous privez de tout sens
critique.