Il n’y a aucun lièvre soulevé, c’est vide, il est reproché aux notaires d’avoir fait leur travail de notaire pour les ventes d’immeubles juifs, comme pour tous les autres, et de s’être enrichi en touchant leurs émoluments sur ces ventes.
Les facteurs aussi s’enrichissaient grâce aux courriers relatifs aux persécutions contre les Juifs, comme la SNCF, sans parler du boulanger qui a cuit le pain acheté par les nazis.