@La Vouivre
Je connais très peu Toulouse mais le Mirail c’est aussi la fac qu’a fréquenté Papacito qui m’a bien fait rire avec la description qu’il en a fait et qui corrobore intégralement la description qu’en fait la personne dans ce commentaire. A Montpellier ça a l’air pareil mais Toulouse a l’air d’être encore pire. A Nanterre il y a qq décennies de cela, le gauchisme y était tout aussi saisissant (ça n’a pas du changer...). Voile de fumée de shit permanent dans le bâtiment sc. humaines, syndicats et organisations gauchistes insupportables, omniprésents et ultra-prosélytes et puis un paquet de branleurs au m² sidérant. Dans un tel contexte, il était très difficile d’échapper à leur propagande sachant que les méthodes staliniennes de ces activistes sont efficaces. Dans une autre fac que j’ai fréquenté, en province, les types intervenaient en plein cours dans les amphi — avec la complicité du maître de conf — posaient des questions à l’amphi du type "qui est pour la manif pour ceci cela ?" puis "qui est contre ?" une manière de bien ostraciser ceux qui ne seraient pas d’accord avec eux et les identifier au passage. Evidemment, ne pas être d’accord avec eux signifiait que tu étais nécessairement "inconscient de tes intérêts de classe" dan le meilleur des cas, mais quand ça ne suffisait pas un "facho". Les pires de tous étant les étudiants en fin de cycle, avec les syndicats type Unef qui préparent à une belle carrière de vendus au PS (des profils type Bruno Julliard).