@christophe nicolas
N’est-ce
qu’une impression, ou votre commentaire n’est pas conçu pour aider
Manuel 235 a produire un prochain volet ?
C’est
toujours intéressant pour des incultes littéraires comme moi, d’avoir des
résumés, ici de la bibliographie, et de la vie, de Jung par Fréderic Lenoir, et
malgré les biais, et défauts d’interprétation de celui-ci.
Nous
sommes dans ce qu’on appelle les sciences humaines, et les éléments
de langage ne vont pas être aussi strictes qu’en mathématique. Y-a
du mou dans la corde, autrement dit.
"L’âme",
et "Dieu", sont des mots qui existent déjà (que des mots ?), et les ambitieux
réformateurs sont à l’époque, très motivés pour défaire ce qui
supporte le dogme religieux, puisque chez les monothéistes, ont ne
peut pas réfuter qu’il put y avoir des contradictions que de
nouveaux (par)venus veuillent absolument décortiquer, afin d’écarter.
Maintenant,
alors que vous n’avez pu personnellement fréquenté Jung, mort en
1961, vous le replacez au milieu des loges, et vous ne chercher pas à
faire la différence entre occultistes, et illuminés, ou alors
hermétiques. Jung semble pratiquer la méditation, même si je n’ai
pas l’impression que Lenoir sache vraiment ce dont il s’agit
lorsqu’il évoque ce point. De plus, Jung se penche aussi sur
l’hypnose, un état modifié de conscience, et il l’utilise, sans que
j’ai la moindre idée de si lui en avait une, à propos des "lois" qui sous-tendent cette
technique. Il faut encore une fois remettre les choses dans leur
contexte, et malgré l’émergence de francs-macs universalistes, la
pression des religieux chauffe encore l’atmosphère de l’époque,
même si dans un monde suisse, à dominante protestante, ça doit
être différent de ce qui se passe dans les milieux catho tradi.
Si
vous voulez refaire l’histoire, Jung eut rencontré Padré Pio, sa
pensée aurait pu en être influencée.
Comme
d’hab, vous y allez un peu au bazooka.