Si la loi civile autorise le meurtre d’une vie innocente, chaque individu peut en son âme et conscience refuser de commettre ce crime odieux. En effet, porter atteinte à la vie d’autrui n’est pas un droit, le fœtus humain n’a pas le même ADN que sa mère, il est donc un corps étranger, un enfant unique et fragile, une identité à part entière, une vie en puissance appartenant à la communauté humaine.
Y mettre fin volontairement est un crime, commis de manière la plus horrible, révélé dans le célèbre documentaire du docteur en gynécologie Bernard Nathanson "le cri du silence" (âmes sensibles s’abstenir), où une échographie filmée en temps réel pendant un avortement, montre en détail la destruction du fœtus qui résiste et essaie d’échapper à la mort.
Le 4 mars, les élus inscrivent définitivement l’avortement dans les gènes de la république. La France de Macron devient ainsi officiellement un État criminel, célébrant le sacrifice satanique de la culture de mort, le droit de tuer des enfants dans le ventre de leur mère, dans une cérémonie commémorative proprement luciférienne.