La cuisine des intellos
Faire le lien entre la permission d'espérer à travers l'idée simple que faut-il faire pour continuer d'obliger d'espérer ? Autrement dit, apprendre à désespérer est-il possible, mais qui en donne la permission ?
Tags : Culture
3 réactions à cet article
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J’ai toujours trouvé que Foucault était meilleur historien que philosophe. Toutes ses oeuvres illustrent à merveille mon propos ("Surveille et punir", ’Les mots et les choses", "Histoire de la folie).
Là encore, dans cette vidéo, il raisonne en historien. Quand il évoque l’année 1956 et la fin des systèmes de pensée qui expliquent et aident à comprendre le monde. L’évènement a pris le pas sur l’étude globale.
Son livre le plus intéressant : "Les mots et les choses". Même s’il est très difficile à lire, il retrace l’histoire des sciences humaines : sujet au combien important. Le fait que l’homme soit au centre des préoccupations est une spécificité de la modernité et ne se rencontre qu’à partir de la Renaissance et non avant.
En tout cas, là encore, quand on voit Foucault, on ne peut que regretter ces intellectuels qui, aujourd’hui semble cruellement faire défaut dans ce pays.-
Merci et bravo aux intervenants pour cette formidable illustration de la logorrhée !
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Sans méchanceté aucune je crois que le trait le plus vif et le plus profond est après 20 secondes de visionnage : "Pour moi après le café".
Ensuite j’avoue ne pas avoir compris grand chose. Tout ce que je peux dire pour alimenter le débat c’est que conformément à une des versions du mythe de Pandore je pense que l’espoir est probablement le pire des maux.
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