@Gollum
Une modélisation est toujours programmée, par définition. Donc, bon. Tu n’as jamais de prog, j’en ai fait sur des logiciels, dont un comportait 300 000 lignes de codes.
L’expérimentation doit être reproductible. Le cas que tu soulèves ne rentre pas dans ce cadre.
Le paradigme manichéen est celui du "conflit créateur". Le christianisme reconnaît l’existence des luttes, mais ne leur prête pas un caractère créateur, mais plutôt destructeur.
Le paradigme manichéen du "combat créateur" est le paradigme moderne (libéralisme, démocratisme, marxisme, darwinisme, féminisme, wokisme, lgbtisme,...). Il est anti-chrétien, et ne fait que préfigurer l’enfer.
L’observation permet en effet de produire des hypothèses et même des lois.
La métaphysique ne s’en prive pas.
Mais, encore faut-il que ces lois et hypothèses soient vérifiées précisément, dans des conditions contrôlées. Sinon, c’est la licence à raconter n’importe quoi.
Pour cela, il faut définir des mesures sur un système, puis le mettre dans une certaine situation, pour voir si son évolution correspond aux lois qu’on imagine. Prend l’exemple de la quantité de mouvement, ou bien les expériences de Michelson, Fizeau, Fresnel, Pascal,... Etc
Mais cette démarche n’est pas possible sur le passé, ni le très loin. La science ne peut parler que d’ici et maintenant, le reste, c’est de la métaphysique.
Quant aux simulations : Ne te laisse pas berner, c’est comme du jeu vidéo, tout est modélisable. ça n’est utile que si tu peux les comparer au réel. Mais il faut alors connaître parfaitement les conditions initiales, ce qui est impossible pour les situations passées
Quant aux datations, il faut espérer que les lois statistiques actuelles de décroissance radioactive n’aient jamais variées dans le temps, par exemple que la Terre n’ait jamais été frappée par une tempête de rayonnements cosmiques hyper-énergétiques. Les datations sont aussi beaucoup basées sur la "couche", dont la profondeur est prise comme fonction linéaire du temps.
Bref, Faut pas croire qu’une datation, c’est une mesure brute, il y a toujours des hypothèses en arrière-plan pour combler les innombrables inconnues. En général, on prend que tout a toujours été comme "ici et maintenant". C’est de l’induction pure.
Ceci fait que le Darwinisme n’est pas une science, mais une métaphysique. Il ne dégage aucune grandeur mesurable qui permette de prédire des résultats quantitatifs. Il se contente de mettre dans un certain rapport (sélection naturelle) des grandeurs qualitatives (les espèces).
C’est similaire au Marxisme qui met en rapport (de lutte) des qualités (les classes), au libéralisme (la concurrence, les individus) , au démocratisme (le concours au suffrage, des partis).
Autant de théories pseudo-scientifiques, indémontrables, mais qui découlent toutes d’un même paradigme, poussé par les héritiers des trafiquants de chair humaine transatlantiques, eux-mêmes héritiers de ceux de Venise et de Gènes.
Donc oui, capitalisme, darwinisme, libéralisme, démocratisme et même marxisme s’avèrent être finalement la même tambouille idéologique, qui repose sur un paradigme manichéen.
@Serge ULESKI
Laminé ?
Mis à mort serait plus juste.
Mais personnellement, les jeux sadiques ça ne m’intéresse pas.
Je m’intéresse aux discussions entre gens bien élevés, ce qui n’est pas le cas ici.
Se croire trop beau n’autorise pas à agir comme une crapule.
Begodo en fait l’illustration : il est le sur-homme, qui parle au sous-homme (qui en plus ose répondre !). Comportement répugnant, tout simplement.
Le cercle Aristote présente souvent d’excellentes conférences.
Pierre Yves Rougeyron est tombé dans un traquenard. Begodo est d’une grande mauvaise foi dans ce débat. Il joue au petit procureur Stalinien. On dirait du Gérard Miller... (Et on sait bien maintenant quel genre de type c’était)
Du coup, ce n’est pas un débat. Begodo n’a d’autres arguments que "ou la la il est méchant".
Donc Begodo, ça vole pas haut (plutôt bas).
Il n’y a rien à apprendre chez les gauchistes, car tous leurs discours sont des répétitions mécaniques et stéréotypées de théories foireuses. Dès qu’on creuse, ça part en poudre.
Au contraire, le cercle Aristote propose souvent des points de vues originaux et argumentés.
En vérité, la pensée de gauche est phobique. Elle semble parfois s’approcher de la vérité, mais soudainement elle lui tourne le dos, comme pour fuir quelque chose qu’elle craint.