A l’époque des premières détections de radioactivités en surface les autorités soulignaient qu’aucune contamination n’avait été signalée. « Nous continuons de surveiller et nous insistons sur le fait qu’il n’y a pas de danger pour la santé humaine et l’environnement », avait indiqué à l’AFP la porte-parole du Waste Isolation Pilot Plant (WIPP). Pourtant, le 26 février 2014, 13 ouvriers ont été testés positifs à l’américium 241...