@Akta russe
Avec
autant de diplomatie qu’il en est capable, JPP atomise tout ce avec quoi il est en
désaccord. Et il le fait sans méchanceté, donc sans comprendre
pourquoi tant de gens lui ferment la porte, alors
que c’est sa manière naturelle de faire, envoyer des tartes ... comme si c’était un mode de
communication sympa. Bravo l’artiste.
Quand
il conteste l’existence de trous noirs stellaires, c’est la physique
descriptive théorique dont il parle, pas d’un corps hyper-massif
dépassant la taille limite théorique d’une étoile à neutrons,
avec dizaine(s) de kilomètres, pour ordre de grandeur du
diamètre, dépassant les 2,5 masses solaire, et qui, à ces dimensions
critiques, commencerait à ne plus laisser échapper sa lumière.
Dans
le trou noir, il conteste la symétrie centrale enseignée comme un
consensus, et lui substitue une symétrie sphérique, ouvrant un
possible passage pour des particules (et pas pour les vaisseaux de
type Star-trek), vers la face inverse et dissymétrique de l’univers
décrit dans son modèle. Ce n’est donc pas tout à fait un trou de
ver, puisque ceux-ci connectent à la même surface, je crois. Mais
il y a peut-être plusieurs modèles théoriques. Je n’ai qu’un
aperçu peu approfondi.
Ceci
dit, depuis plusieurs années, j’ai vu passer un certains nombres de
personnes, y-compris USA, non académiquement reconnues, évoquer un
modèle d’univers double, avec des flèches du temps inversées. Et
pour en revenir au titre de l’article, bon courage si vous vouliez
imposer un modèle théorique révolutionnaire qui ferait péter tout
le business.
Je
précise ce point, puisque le modèle Lambda CDM a beaucoup de
problèmes pour trouver toutes ses confirmations observationnelles.
C’est d’ailleurs la seule choses qui comptent pour la validation, les
mathématiques permettant d’abord de dégager le chemin en écartant
une partie de ce qui est impossible. Mais ces math ne sont pas
l’absolu, elles sont d’abord l’outil de prédiction pour un modèle.