On y apprend notamment ceci (liste loin d’être exhaustive) :
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Les Affiches ne sont toujours pas interdites sur Toulouse (au 25 août) ;
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l’ANSM
donne des informations trompeuses : elle communique à l’intention des
professionnels de santé sur les effets indésirables graves comme ayant
une fréquence de 1/1000 à 1/10.000, en donnant abusivement à penser
qu’elle s’appuie sur des chiffres sûrs obtenus par une pharmacovigilance
active, alors que la réalité est d’environ 1/100, voire plus ;
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La Préfecture a entamé une procédure contradictoire : elle a envoyé un courrier à Réinfo Liberté
ainsi qu’à l’annonceur (responsable des panneaux) pouvant aboutir à une
décision du préfet de signer un arrêté d’interdiction de la campagne
d’affichage, ainsi que, via la saisie du procureur de la république, à
une procédure pénale à l’encontre de Réinfo Liberté ;
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Vincent
Pavan estime que le procureur n’intentera pas une procédure pénale, car
le taux d’effets indésirables graves serait discuté devant la justice
et la communication mensongère de l’ANSM serait établie.
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