Je ne peux pas me faire à la manière dont il a trompé la confiance du FDG à Paris. Quoi qu’il dise pour l’instant, je ne lui pardonne pas (oui, c’est de cet ordre ancien). Et si demain, par opportunisme ou pragmatisme, il fallait lui dérouler un tapis de roses, alors oui, la politique serait une fois de plus, définitivement probablement pour moi, ramenée au pire de l’humain, d’abord, ensuite et à jamais.