@yoananda2
Peut-être es-tu un "mouton résigné" et moi un mouton qui se berce d’illusions...
Peut-être prends-je trop à cœur la devise de la famille Kennedy "ne jamais se laisser abattre"...et après tout seuls les combats qu’on ne mène pas sont perdus d’avance...
Bref, je suis en pleine oscillation... 
Tu marques un point dans ta description du système, plus exactement ses têtes d’affiche...cela me coûte de l’écrire mais pour atteindre ces positions au sommet de la pyramide il faut certaines compétences, du savoir faire et du savoir être, de l’intelligence, des "qualités" humaines...être bien né et avoir des réseaux est évidemment un bonus appréciable...ce n’est pas à la portée du clampin lambda, j’en conviens...
Quant au "poupoulo qui veut se révolter" que tu décris...je crois qu’il n’a pas pleine conscience des enjeux...il ne s’agit pas d’une "simple" situation de spoliation des gueux au profit d’une oligarchie, ça va beaucoup plus loin que ça...
Plus haut Tchak cite l’exemple de la puce implantée dans le cerveau, Harari évoque la fin de toute vie privée...pour le bénéfice du porteur, bien sûr...les pires saloperies sont couvertes d’une parure de bienveillance, de progrès...un "progrès" d’abord proposé sous l’angle du volontariat comme ici en Suède...
https://www.leparisien.fr/video/video-en-suede-une-start-up-teste-limplant-du-passe-sanitaire-sous-la-peau-via-une-micro-puce-21-12-2021-46FRHMSUMNEV3H44CD2QK7TG6I.php
Du volontariat à l’obligation il n’y a qu’un pas...nous le savons d’expérience...
Cet agenda de mise en esclavage se décline de manière protéiforme et ouvre la voie à une civilisation nouvelle, juste à vomir...c’est loin de n’être qu’une question sonnante et trébuchante...
Le système de coopératives que tu mentionnes, je ne sais s’il permettra dans cette civilisation nouvelle d’avoir une marge de liberté, sans doute faudra t-il inventer d’autres structures de contre-société si toutefois c’est envisageable...c’est plus coton que de contourner la censure par des mots savamment choisis...
M’enfin...
Comme dit Klaus : il ne faut pas avoir peeeuuuur...