Hindi semble avoir quelque compétence dans le domaine de l’exégèse et de l’histoire des religions mais sa motivation première c’est l’Islam : Hindi se pense musulman ; son dada c’est sa religion.
Or, un mollah, un iman ne sont pas plus compétents qu’un rabbin ou un cureton quand il s’agit d’expliquer le pourquoi et le comment du monde, celui d’aujourd’hui et celui de demain.
D’où la limite de ses analyses.