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Gaspard Delanuit (---.---.59.113) 17 décembre 2024 05:40
Gaspard Delanuit

@ezechiel

"Categories of speech that are given lesser or no protection by the First Amendment (and therefore may be restricted) include obscenity, fraud, child pornography, speech integral to illegal conduct, speech that incites imminent lawless action, speech that violates intellectual property law, true threats, false statements of fact, and commercial speech such as advertising. Defamation that causes harm to reputation is a tort and also a category which is not protected as free speech."


Concernant les États-Unis, cet extrait ne montre en rien que "faire la promotion de la pédophilie est passible de peine de prison", comme vous l’écrivez plus haut. D’une part, on peut faire la promotion de la pédophilie ou de l’éphébophilie de manière "intellectuelle", sans image pornographique (sans "child pornography"). D’autre part, le droit américain distingue la pornographie infantile virtuelle (littérature, BD, etc.) qu’on peut certes trouver immorale et de très mauvais goût, de celle qui implique de fait l’exploitation sexuelle d’enfants et par conséquent des agressions criminelles sur de réelles personnes mineures (des actes qui seraient punis en tant que tels, même sans publication). 

"Aux Etats-Unis, la Cour suprême a pris une décision importante en qualifiant « d’anticonstitutionnelle » la loi qui interdisait les images virtuelles de pornographie mettant en scène des enfants. Les juges ont mis en avant le Premier amendement de la Constitution qui défend la liberté d’expression." 

Cet article a plus de 20 ans, mais je n’en ai pas trouvé de plus récent qui le contredise. 




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