Que Weber ait des griefs contre Trump est une saine disposition qui au nom de la démocratie n’a pas être discutée — il en a le droit et je défends cette liberté de parole qui refait enfin son apparition sans passer par les fourches caudines de nos fact-checkers mais il faut seulement rappeler que ce monsieur est un grand soutient de LFI dont les députés européens viennent justement de voter contre la libération d’un autre homme ; les autorités qui le détiennent estiment aussi qu’il faut le supprimer.
Vive la liberté d’expression. Se faisant, que Weber qui, par cette envolée lyrique contre Donald, se rapproche un peu plus du poulain du système Gluksmann à peu de frais, ne vienne surtout pas s’élever sur celle du camp d’en face si le verbe employé se trouvait être excessif et que ses oreilles venaient à saigner.