Les hommes (ou les femmes) dits politiques n’ont rien de « politique », mais sont, en réalité, des « hommes de paille », des « hommes-liges », interchangeables et, surtout, de véritables courroies de transmission des « puissances d’argent », réels donneurs d’ordres.
Notons qu’avant que le jeune Emmanuel Macron devienne Président de la République Française, après avoir d’abord été banquier d’affaires chez Rothschild & Cie puis Secrétaire général adjoint du cabinet du Président Hollande, il y a avait Pompidou.
Arrivé au pouvoir suprême en 1969, après la démission de Charles de Gaulle, Georges Pompidou, ex-employé de la banque Rothschild comme Emmanuel Macron (on constate que le véritable pouvoir n’a guère évolué en 50 ans, ce qui, en définitive, est la seule chose réellement stable dans ce pays), pond la loi du 3 janvier 1973, également appelée « loi Pompidou-Giscard » ou encore « loi Pompidou-Giscard-Rothschild », qui modifie les statuts de la Banque de France et donne le coup d’envoi d’une dette qui n’aura de cesse d’augmenter exponentiellement et, ainsi, de vampiriser toutes les richesses nationales produites. Aussi, depuis 1974, plus aucun budget de l’état n’a été à l’équilibre. Depuis, cette loi a été reprise, systématisée et aggravée par l’article 123 du TFUE, Traité sur le Fonctionnement de l’Union Européenne de 2009, grâce à Sarkozy et la complicité des pantins corrompus du Parlement, qui se sont assis royalement sur le « NON » des français au référendum sur le Traité Constitutionnel de 2005, en validant directement eeux-mêmes le traité (scélérat) de Lisbonne, sa copie quasi-conforme.
À propos des « Rothschild », rappelons que dans un entretien accordé à la revue française « Entreprise » (n°775 du 18/07/1970, p.64), ancêtre de la revue « L’Expansion », Edmond de Rothschild déclarait : « Le verrou qui doit sauter à présent, c’est la nation ! » .
Ce « Casse » consistait en trois étapes :
1- La décolonisation, c’est-à-dire l’abandon par les pays d’Europe de leurs anciennes colonies, livrées dès lors à des pouvoirs fantoches et à l’exploitation des « puissances d’argent » ;
2- La régionalisation c’est-à-dire le dépeçage des nations d’Europe, par excitation artificielle des régionalismes, en vue de substituer les patriotismes régionaux aux nationaux (d’où les actions de l’IRA irlandaise, de l’ETA basque, du FLN corse, des mouvements flamands et wallons, etc.) ;
3- L’intégration fédérale de l’Europe comme socle d’un État Fédéraliste mondial et d’un Gouvernement Mondial, dont le Marché Commun de Jean Monnet, Paul-Henry Spaak et Robert Schumann fut l’alibi, avec l’élection du Parlement Européen, une monnaie unique, des forces policières et armées fédérales et non plus nationales pour réprimer toute tentative d’un peuple pour se libérer, et le transfert des pouvoirs nationaux à un Gouvernement Européen et à une juridiction européenne déjà très active… à quoi s’ajoutera le libre-échangisme commercial et migratoire mondial le plus déstabilisateur et destructeur.
NB : L’UE (Union Européenne) est une organisation à vocation politique de nature supranationale, centrée sur les principes de la liberté du commerce et du libre-échange généralisé, regroupant les pays situés sur le territoire européen. Son origine remonte à la période d’après-guerre, au moment de la signature, en 1948, du traité fondateur (le traité de Bruxelles) de ce qui alors s’appelait l’Union Occidentale (UO). Cette superstructure correspond au versant civil et politique de la médaille dont le versant militaire est représenté par l’OTAN (Organisation du Traité de l’Atlantique Nord) créée en 1949. À cet égard, il importe de rappeler que l’OTAN, sous commandement américain officiel, est en réalité une « force » qui a été créée sous l’impulsion des globalistes anglais (« Fabian Society » en tête) sous la poussée d’une prétendue menace Soviétique. L’UE agit juridiquement, sur le modèle anglo-saxon, au moyen du « lobbying » qui est la transcription juridique, et donc la légalisation, de ce que le droit continental traditionnel appelait « corruption d’agents publics ».
Le pouvoir politique tel qu’il apparaît aujourd’hui est en réalité un artefact de pouvoir, il est entièrement dévoué au véritable pouvoir, le pouvoir économique. Explication :
Dans le contexte du mandat représentatif, le véritable pouvoir échoit de façon opaque, anonyme, à ceux qui financent les partis politiques. En effet, le parti qui gagne les élections, et plus généralement « les partis dits de pouvoir » détiennent en réalité les rênes du pouvoir législatif et du pouvoir exécutif. Il en résulte que la séparation des pouvoirs est, structurellement, une apparence contraire à la réalité.
La « séparation des pouvoirs » telle qu’institutionnellement comprise, alliée au mandat représentatif est, en réalité, une stratégie utilisée par les « puissances d’argent » pour prendre le pouvoir politique à l’intérieur des pays. C’est cette prise de contrôle institutionnelle, à l’intérieur des États européens, qui a permis l’avènement de l’Union Européenne en tant qu’institution. Les institutions européennes ont été, historiquement, faites par et pour les multinationales ; non pour le commerce en général, mais plus précisément pour le commerce des multinationales.
Les Traités européens, tels les traités de Maastricht ou de Lisbonne, qui ne sont que la formalisation politique de cette capture des règles d’organisation des peuples par des intérêts privés, s’opposent à toute possibilité de « patriotisme économique » de la part d’États qui ne doivent jamais privilégier leurs propres entreprises « nationales ». Cette interdiction est sanctionnée, institutionnellement et financièrement, par l’interdiction générale des « aides de l’État » ainsi que par les « recours en manquement » à disposition de la « Commission européenne » pour faire condamner les États réfractaires à appliquer les règles de l’Union. Rappelons que les Commissaires sont nommés (non élus) à la Commission européenne par les chefs d’État ou de gouvernement des États membres, c’est-à-dire en réalité par les actionnaires des multinationales et les banquiers qui ont financé leurs campagnes, et sont donc sous le contrôle de l’oligarchie, dans leurs pays respectifs. La « Commission » aux ordres oligarchiques peut ainsi rappeler à l’ordre (financier) les États qui auraient eu des velléités de déroger à leur propre sabordement. Ce sabordement est, notons-le, « librement » consenti par les États qui s’interdisent, par leur adhésion aux Traités constitutifs scélérats de l’Union Européenne, toute capacité de défendre et de protéger leurs propres ressortissants, personnes physiques ou morales.
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