La condamnation scandaleuse de Me Reiner Fuellmich
L’avocat Reiner Fuellmich a été récemment condamné par la justice allemande à trois ans et neuf mois de prison. Une sentence qui soulève des questions brûlantes sur la liberté d’expression, l’état de droit, l’indépendance de la justice et ses éventuelles motivations politiques. S’est-il agi d’un procès équitable ou d’une chasse aux sorcières contre un lanceur d’alerte qui dérangeait ?
Tags : Droit Allemagne Prospective et futur Corruption
3 réactions à cet article
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’’ De 2021 à 2023, le plus important soutien financier de Pfizer a été le département de la défense américain qui a consacré plus d e12 milliards de dollars à Pfizer (Compagnie ... ) pour qu’elle mette sur pied ce vaccin expérimental ... ’’
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Sans compter l’aide active des institutions politiques. Ces sommes considérables ont davantage été consacrées à la promotions des injections qu’à leur mise au point. Comme c’est d’ailleurs toujours le cas pour les produits nouveaux.
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Le (peudo) vaccin n’a pas été introduit pour le covid. Le covid a été introduit pour le vaccin. » Reiner Fuellmich
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Plus précisément : Le peudo vaccin n’a pas été introduit pour le covid. Le storytelling concernant le supposé virus, les test PCR et la mise en scène covid ont été introduits pour le vaccin.Tout aurait fonctionné exactement pareil avec un virus inoffensif. Les gens qui durant cette période croient qu’ils ont eu le covid ont en réalité eu la grippe et des complications plus ou moins graves que des traitements connus auraient guéris.
« Imaginez un vaccin tellement sûr que vous devez être menacé pour accepter d’être piqué contre une maladie si mortelle que vous devez être testé pour savoir si vous l’avez. » Pr Denis Rancourt
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Tartufferie institutionnelle et Loi divine : les « cons » ne sont pas SUR le mur de la « justice », mais DANS ses murs !
La justice, en général, ne se préoccupe que très peu de la victime, et infiniment plus de l’agresseur, auquel elle fournit avocats, surveillants, assistants sociaux, psychiatres, traducteurs, agents de réinsertion, gîte et couverts si nécessaire. Alors, que dans le même temps, la victime devra se débrouiller seule, n’aura que peu ou pas le droit à la parole, comme dans l’affaire du sang contaminé (ou pire, celles d’Outreau, des enfants, qui auront la justice contre eux), et n’obtiendra jamais intégralement réparation de son préjudice, ou que très partiellement. Et elle devra en outre se débrouiller, lorsque quelques subsides lui sont accordés, pour les recouvrer, ce qui s’avère rapidement impossible. Et tout ceci est normal, dans l’esprit de nos magistrats car probablement pour eux il n’y a pas de victimes innocentes, et dignes de considération !
Tout comme dans l’ancien régime, il y a deux justices, celle de ville et celle de cour, et « selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de cour vous rendront blanc ou noir... » Ceci n’est pas qu’une opinion, c’est un constat terriblement accablant, et s’il convient de juger l’arbre à ses fruits, l’homme à son parcours, l’histoire de la justice est une série accablante pour elle. De cette justice qui appliquait avec sévérité les lois d’exceptions du régime de vichy, et dont les magistrats étaient quasiment les mêmes que ceux qui, précédant ce régime, appliquaient les lois de la République, et qui sont rigoureusement restés les mêmes après la libération sans que personne ne se soucie d’en purger les colossales responsabilités issues d’une bienveillante collaboration. Jusqu’à cette lamentable pantalonnade du procès de la méprisable Haute Cour de justice de la République qui, dans l’affaire du sang contaminé a inventé cette formule incommensurablement perverse de : « Coupable mais pas condamnable », qui venait clore la série délicieuse du responsable mais pas coupable. Chaque fois que la justice doit se prononcer, soit sur la responsabilité pénale des fonctionnaires, soit sur celle des prévarications nombreuses des dirigeants politiques ou hauts fonctionnaires, souvent les mêmes, elle fait toujours preuve d’une mansuétude, d’une bienveillance et d’une indulgence à faire pleurer les anges.
Pourquoi ? se demanderons certains naïfs, mais pour la simple et bonne raisons qu’elle est, et ne peut pas être autrement qu’aux ordres. Les magistrats sont issus de la nomenklatura, formés par elle, encadrés par elle, entretenus par elle, promus ou sanctionnés par elle, totalement tributaire d’elle. Et il faut une énorme dose d’hypocrisie et de duplicité de langage, ou être un apparatchik du système, pour avoir le culot de prétendre que la justice est indépendante du pouvoir, alors que tout démontre et prouve objectivement le contraire.
Pour info, et concernant les USA, rappelons que si Joe Biden a gracié son fils, Hunter Biden, juste avant son départ de la Maison Blanche, Donald Trump a, quant à lui, gracié Ross Ulbricht deux jours à peine après son investiture en janvier 2025. Rappelons que Ross Ulbricht est le créateur du site « Silk road » ou l’« eBay » de la drogue (entre autres ; tous les trafics de drogue passaient là-dedans), et considéré comme la source de crime organisé. Ce site était conçu comme un marché libre où n’importe qui pouvait acheter n’importe quoi, dans un anonymat complet. Ainsi, tout le monde pouvait acheter des stupéfiants, des armes, des « services » de piratage de comptes Twitter ou Facebook et des faux papiers. Arrêté en octobre 2013, Ross Ulbricht sera inculpé en août 2014 de blanchiment d’argent, de trafic de drogues et de piratage informatique ; condamné en 2015 à la réclusion à perpétuité, comptabilisant en détail deux réclusions à vie ainsi que d’autres durées d’emprisonnement plus ou moins longues, il sera finalement gracié par Trump en janvier 2025.
Quelques autres exemples d’une justice à deux vitesses, extraits de l’ouvrage de Yann Moncomble intitulé « Le pouvoir de la drogue dans la politique mondiale » figurent dans le lien ci-après
NB : Le pouvoir politique tel qu’il apparaît aujourd’hui est en réalité un artefact de pouvoir, il est entièrement dévoué au véritable pouvoir, le pouvoir économique.
Nous sommes ici, avec le principe du « mandat représentatif » en pleine tartufferie institutionnelle !
Dans le contexte du mandat représentatif, le véritable pouvoir échoit de façon opaque, anonyme, à ceux qui financent les partis politiques. En effet, le parti qui gagne les élections, et plus généralement « les partis dits de pouvoir » détiennent en réalité les rênes du pouvoir législatif et du pouvoir exécutif, le pouvoir de l’ordre judiciaire étant marginal car largement dépendant du pouvoir exécutif. Il en résulte que la séparation des pouvoirs est, structurellement, une apparence contraire à la réalité : alors que l’apparence prévoit des pouvoirs séparés, la réalité donne tous les pouvoirs, sans aucun contrepouvoir institutionnel, aux seuls « fournisseurs de capitaux », c’est-à-dire aux entités qui financent les partis politiques lors de perpétuelles élections.
Précisons que dans le contexte actuel d’assujettissement quasi-total des États au « phénomène économique globaliste », les instances juridictionnelles internationales, du type TPI (Tribunal Pénal International), CPI (Cour Pénale Internationale) et Parquet Européen, voire même les juridictions nationales, sont, par nécessité, soumises à la dérive du phénomène politique étatique : ils rendent, en raison du déséquilibre des forces entre États et multinationales, des jugements forcément biaisés en faveur des seconds. Les plus gros intérêts financiers y remportent systématiquement la mise.
La séparation des pouvoirs telle qu’institutionnellement comprise, alliée au mandat représentatif est, en réalité, une stratégie utilisée par les « puissances d’argent » pour prendre le pouvoir politique à l’intérieur des pays. C’est cette prise de contrôle institutionnelle, à l’intérieur des États européens, qui a permis l’avènement de l’Union Européenne en tant qu’institution. Les institutions européennes ont été, historiquement, faites par et pour les multinationales ; non pour le commerce en général, mais plus précisément pour le commerce des multinationales.
Les Traités européens, tels les traités de Maastricht ou de Lisbonne, qui ne sont que la formalisation politique de cette capture des règles d’organisation des peuples par des intérêts privés, s’opposent à toute possibilité de « patriotisme économique » de la part d’États qui ne doivent jamais privilégier leurs propres entreprises « nationales ». Cette interdiction est sanctionnée, institutionnellement et financièrement, par l’interdiction générale des « aides de l’État » ainsi que par les « recours en manquement » à disposition de la « Commission européenne » pour faire condamner les États réfractaires à appliquer les règles de l’Union. Rappelons que les Commissaires sont nommés (non élus) à la Commission européenne par les chefs d’État ou de gouvernement des États membres, c’est-à-dire en réalité par les actionnaires des multinationales et les banquiers qui ont financé leurs campagnes, et sont donc sous le contrôle de l’oligarchie, dans leurs pays respectifs. La « Commission » aux ordres oligarchiques peut ainsi rappeler à l’ordre (financier) les États qui auraient eu des velléités de déroger à leur propre sabordement. Ce sabordement est, notons-le, « librement » consenti par les États qui s’interdisent, par leur adhésion aux Traités constitutifs scélérats de l’Union Européenne, toute capacité de défendre et de protéger leurs propres ressortissants, personnes physiques ou morales.
Le retour à la LOI DIVINE est signe de régression, de faiblesse, et d’éloignement. Elle est donnée à nouveau à l’homme (l’humanité ou le peuple) qui ne sait plus se conduire.
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