@BlueMan
Il faut dire que dans d’autres pays et dans d’autres
circonstances, le terme antifasciste peut être respectable. Mais surtout
pas en France où il est scandaleusement usurpé !
Il faut le voir
plutôt comme une contraction de : "Amalgame d’anarchistes, de
révolutionnaires haineux et jaloux, d’invasionnistes, de bobos qui
s’ennuient, et de cailleras qui saisissent une occasion". Bref, un truc
qui n’aurait même pas eu le droit d’exister chez les communistes, tant
ça ne pourrait même pas marcher dans une "dictature du prolétariat".
En
revanche, même si je me désolidarise totalement de ces "activistes" qui
cherchent à côté du vrai problème (c.à.d. pourquoi nous sommes forcés
d’accepter les dogmes de la mondialisation, plutôt que de disserter
ad-nauseam sur le monde illusoire sans capitalisme), une fois ceci dit
je pense alors :
Pauvre France d’aujourd’hui, dont les gouvernants
prétendent éduquer le reste du monde, et qui sont en train d’obtenir
chez nous la même chose que ce qu’ils ont répandu ailleurs : La guerre
civile. Quatre moyens simultanés pour ce plan efficace :
a) Soumission totale aux dogmes néolibéraux et au "libre" échange (délocalisations, précarisations, etc...)
b)
Excitation des gauchistes après avoir prétendu "mon ennemi c’est la
finance" pour finalement se résigner au programme économique
qu’appliquent les valets mondialistes de Bruxelles (comme quoi, pas de
miracle, les bisounours de la mondialisation heureuse c’est du pipeau). Bientôt ils appelleront
vengeance contre le voisin de pallier qui gagne encore bien, par chance.
c) Insécurité générale cultivée par 30 ans de laxisme judiciaire (et parfois d’injustice !) sans égal.
d)
Combinaison d’une politique de destruction du Moyen Orient avec la
politique d’ouverture des frontières, avec les effets secondaires
(tensions et attentats) que l’ont connaît.
Oui, c’est un
véritable programme de guerre civile appliqué par des inconscients (car
je n’ai peut-être pas le droit de dire : criminels) et il doit être vu
comme tel ! Mais Valls a dit que c’était de la faute... au FN qui n’a jamais gouverné ! (Et probablement à Poutine aussi...).