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Les commentaires de ffi



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    ffi 5 janvier 2018 05:36

    @maître soucoupiste
    « Cette phrase est complètement absurde lol, vous êtes inculte . Les avancées techniques sont dépendantes des progrès scientifiques, c’est évident, on a pas inventé l’ampoule avant d’avoir maitrisé l’électricité. »

    Lol :

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Lampe_%C3%A9lectrique

    --------------------------------------------------------------------

    1808 : premières expérimentations dans les sous-sols de la Royal Institution où Humphry Davy a fabriqué une pile électrique géante composée de plus de 800 piles voltaïques reliées à deux bâtonnets de charbon de bois. En rapprochant les bâtonnets, le flux continu de charges électriques provoque un arc électrique à l’origine d’une étincelle continue et aveuglante

    ------------------------------------------------------------------------

    1808, c’est bien avant la maîtrise de l’électricité...



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    ffi 9 décembre 2017 08:17

    Sur l’étymologie Statistique :

    Empr. à l’all.Statistik, forgé par l’économiste all. G. Achenwall (1719-1772), qui l’a dér. de l’ital. statista « homme d’État », la statistique représentant pour lui l’ensemble des connaissances que doit posséder un homme d’État (Brockhaus Enzykl.).

    Extrait de “Mémoires secrets pour servir à l’histoire de la république des lettres en France, depuis MDCCLXII jusqu’à nos jours. Tome 29, page 102. Louis Petit de Bachaumont” (http://gallica.bnf.fr/ark :/12148/bpt6k65320886/f112.image)

    « Il paraît que la secte des économistes règne ailleurs qu’en France, ou plutôt qu’elle n’est en ce royaume qu’une émanation, une branche nouvelle du corps établi depuis longtemps en Allemagne, où il fleurit plus que jamais, où les professeurs de cette classe ne s’amusent pas seulement à calculer les arpents d’un état, et les gerbes de blé qu’ils peuvent produire ; mais où ils ont l’art de peser, de balancer les forces, la puissance, la prospérité de chacun et de les comparer ensemble ; ils ont même créé un mot pour désigner la science de cette partie de l’économie politique, et l’appellent statistique. C’est une certain docteur Busching qui brille surtout dans ces calculs et en hérisse son journal ; il compte jusqu’aux moutons et aux poules, et ne laisse rien en arrière. »

    Ce fut étendu au mathématiques ensuite : b) 1843 « ensemble de techniques d’interprétation mathématique appliquées à des phénomènes pour lesquels une étude exhaustive de tous les facteurs est impossible » (Cournot, Exposition de la théorie des chances et des probabilités, Paris, p. 182)

    La grande puissance tutélaire, ontologiquement coupée du peuple, doit l’analyser en chiffre...



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    ffi 25 octobre 2017 22:19

    @Jean Keim
    C’est tout simplement une coïncidence troublante.



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    ffi 21 octobre 2017 04:28

    @jimontheair
    C’est vrai, et cela transparaissait en creux dans ma réponse, puisque j’y ai fait une petite incartade par le droit, que disposer d’argent seulement ne suffirait à rien. Un état pourrait très bien ne pas autoriser la convertibilité de sa monnaie avec les autres monnaies, ou encore mettre des limites aux possibilités d’acquisition. Par exemple, au moyen-âge, il y avait de nombreuses monnaies différentes en France. Il a fallu les unifier toutes pour pouvoir commercer au travers du pays.

    Ainsi, pour permettre une dictature par l’argent, il faut préalablement que soit mis en place un système de lois qui le permette. Ce système de loi ne peut être mis en place, en douceur, uniquement si l’élite politique y consent, soit en la persuadant, en lui faisant croire qu’elle sert ainsi l’intérêt général, soit par corruption, en lui octroyant des intérêts particuliers.

    Mais la démocratie ne serait d’aucune utilité sur ce point. Les gens du commun, trop pris par la recherche des ressources nécessaires à leur survie, n’ont que trop peu de temps pour réfléchir aux législations. Au final, ils votent comme les réseaux les plus influents lui prescrivent.

    L’ultime dictature, en définitive, sera toujours celle du réel. Celui qui est dans le Faux, tôt ou tard, le réel le rattrape. Il faut donc être dans le Vrai. Or le Vrai, c’est une qualité - c’est un discours conforme au réel. Ce n’est pas une quantité de vote. De plus, l’opinion générale peut très bien s’avérer être une croyance erronée.

    Si le savoir est défini comme un « croyance vraie », alors il m’apparaît que c’est bien le savoir qui doit tenir le magistère. Hélas, il n’est pas flagrant de déterminer ce qui est vrai, le vrai se détermine après-coup, une fois qu’on a agi et que le réel a répondu. Après-coup, on peut dire : « telle chose qui passait pour un savoir n’était en réalité qu’une chimère ».



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    ffi 20 octobre 2017 20:34

    @jimontheair

    Une « dictature », c’est l’art de diriger par la force.
    Une « dictature douce », ce serait l’art de diriger sans usage de la force.

    Or, avec l’argent, celui-ci qui en a, il peut acquérir. Mais celui-là qui n’en a pas, il ne peut pas acquérir. L’argent est un droit d’avoir.

    Puisque pour pouvoir, il est nécessaire d’avoir quelques moyens, celui-ci qui dispose du droit d’avoir, il peut ; Mais celui-là qui n’en dispose pas, il ne peut pas.

    La dictature douce, c’est l’art de tout diriger par l’argent.

    Mais la force n’est pas loin : le droit réprimande le vol.

    La dictature douce est donc plutôt une dictature où la force intervient en second rang, l’argent intervenant en premier.

    L’Euro est donc une question centrale, et, au-delà, tout le système monétaire mondial.

    Revenons au droit d’avoir : Le juste, c’est l’art de rendre à quelqu’un selon ce qu’il a donné.

    L’argent, droit d’avoir, pour être juste, est donc le rendu d’un don préalable.

    Ainsi, le libre-échange, qui implique la convertibilité générale des monnaies, imbrique fatalement tous les droits nationaux. Or le juste ne peut être considéré que dans le cadre restreint d’une juridiction. Allez savoir si tel homme riche étranger qui se porte acquéreur d’un bien en France a acquis honnêtement l’argent qu’il présente pour l’acheter...



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    ffi 8 octobre 2017 18:39

    @gollum :

    NB : apathie signifie, par l’étymologie grecque, littéralement « sans passion ». Ainsi, ta placidité « sans passion », c’est par définition, l’apathie.



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    ffi 8 octobre 2017 18:33

    @Gollum
    Réfères toi aux définitions : la colère, c’est une réaction vive. (neurotransmetteur -> Adrénaline). C’est donc, par définition, pour un homme, l’énergie qu’il met dans son acte. Tu m’accorderas que si un homme ne met pas d’énergie dans son acte, il n’agit pas. Certes, il sera lucide, mais inactif. La grenouille face au serpent est lucide.

    Le tout est de ne pas mettre toute l’énergie dans l’acte, mais d’en garder une part pour la réflexion, de telle manière que l’acte ne devienne pas irréfléchi. Autrement dit, savoir user de sa colère lucidement.

    Lorsque je dis que j’exagère ma colère, cela signifie qu’elle est en réalité moins forte qu’il n’y paraît, donc que je préserve une partie de mon énergie pour rester lucide. Mais c’est de la véritable colère, car je peux en accroître l’intensité à volonté, comme j’ai justement gardé une réserve d’énergie qui me le permet.

    Quant à l’apathique, il ne dort pas, il ne rêve pas, il est vigilant, il réfléchit parfaitement normalement, et conçoit les choses sans problème logique, il est lucide. Simplement, les choix qu’il produit ne trouvent pas d’énergie pour s’accomplir en actes. L’apathique est un homme sans colère.

    « la Présence (dénommée Vide chez les bouddhistes).  » Mais c’est quoi que ces conneries bordel de merde ! La présence c’est le vide maintenant ? N’importe quoi...

    « Par définition, la vie implique des réactions adéquates. Qui peuvent être vives quand c’est nécessaire ou l’inverse quand c’est nécessaire aussi. » Mais comme la vie implique que toutes ces potentialités se réalisent un jour où l’autre, donc... la vie implique des réactions vives.

    Pourrait-on vivre sans adrénaline ? Mais le cœur ne battrait plus...



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    ffi 8 octobre 2017 15:11

    @Gollum

    Tu dis :

    « La colère ne sert à rien. En soi. Avoir une compréhension de son origine au point moral ne présente pas forcément d’intérêt si cela ne s’accompagne pas d’un calme permettant la neutralisation de cette colère.

    La colère anéantie alors se dégage une énergie libérée permettant de faire face à la situation en toute lucidité. »

    C’est évidemment totalement faux. La colère (définition : réaction vive et parfois violente) est pure mise en mouvement, c’est l’énergie d’agir par elle-même. Donc si tu anéantis la colère, alors tu anéantis l’énergie d’agir, ce qui ne permet de faire face à rien, mais laisse prostré dans la cogitation. Bref, c’est l’apathie.

    Par définition, la vie implique des réactions vives.



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    ffi 8 octobre 2017 14:53

    @Gollum
    Je ne pense pas, pour ma part, que la colère ne sert à rien. Si elle est mauvaise conseillère, dit-on, il faut parfois savoir se mettre en colère, comme face à un enfant qui met sa vie en danger, par exemple. Se mettre en colère permet de prévenir l’occurrence de certains problèmes.

    Imagine : ton enfant va jouer au ballon près la route, tu lui demandes gentiment de ne pas le faire, mais pris par le jeu, il ne t’écoute pas, et continue. Il faut hausser le ton. Si tu ne hausses pas le ton, il va rester dans sa bulle, et là, le ballon va partir sur la route, il va courir après,... mais pas de chance, une voiture ! BOUM...

    Tu es resté calme, mais ton gosse est mort. Et là, la colère, elle sera contre toi-même.

    Personnellement, dans le cadre parental, lorsque je sens les prémisses de la colère me chatouiller, de suite « je lâche ma colère », en la surjouant. D’une part, cela fait sortir l’enfant de sa bulle passionnelle, car il m’écoute, et ça évite les problèmes ; d’autre part, je maîtrise parfaitement cette colère, puisque je la surjoue intentionnellement ; Enfin, puisque j’en ai donné plus que ce mon corps en avait à proposer, je peux redevenir calme, instantanément.

    C’est ainsi, en me mettant en colère avant de ne l’être vraiment, que non seulement je ne la subis pas, mais que je la maîtrise. Aussi n’est elle jamais pour moi une passion, puisque je commande son déclenchement, comme son extinction, par la raison.

    Quant à ta technique méditative, je ne suis pas sûr qu’elle permette de parvenir réellement au calme (qui, par étymologie, implique une certaine chaleur), mais plutôt à la placidité, faculté de complaire. Je dirais que le calme correspond à cette expression de « silence habité », donnée par cette prof de philo du Cambodge, quand elle narre sa conversion christianisme (cf lien).



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    ffi 7 octobre 2017 16:18

    @Gollum

    Catégoriser les émotions comme en partie positives ou négatives, c’est de la nuance, mais ça ne suffit pas, car ça ne n’en donne pas le sens. En chrétienté, on dira qu’on distingue dans les passions des puissances vicieuses et vertueuses.

    Par exemple, il est dit que la colère comporte une part de malveillance. Pour ma part, je ne dirais pas cela. La colère est un état passionnel (plus ou moins intense), ce n’est ni malveillant, ni bienveillant à priori. Elle a deux issues, son origine (sa source) et sa finalité, et un cheminement (son accomplissement). Ces trois composantes peuvent être considéré sous l’angle du Bien et du Mal.

    Selon Aristote, se mettre en colère est réagir passionnément pour remédier à une passion de tristesse (laquelle tristesse est consécutive à la perception d’un mal qui nous afflige), comme pour se venger, comme pour punir l’auteur de ce mal. C’est fondamentalement une révolte contre l’injustice.

    C’est légitime de se révolter contre l’injustice.

    De là plusieurs questions se posent :

    1° Ce que je perçois comme un mal qui m’affecte, qui donc m’attriste, est-il véritablement un mal ? En effet, il peut y avoir des raisonnements erronés sur ce point. Certains se mettent en effet en colère sans raisons évidentes. Il peut y avoir une tristesse plus ancienne, dans le passé, qui ne soit pas remédié, mais qui nous ronge, de sorte que la moindre contrariété nous met en colère.

    Si Non, après réflexion, il n’y a pas vraiment de mal présent, donc la tristesse s’étiole, donc la colère s’éteint. Il est illégitime de se révolter contre la justice.

    Si Oui, cela appelle un autre questionnement :

    2° Ai-je les moyens de me révolter contre cette injustice ? Cela m’est-il autorisé par la société ?

    Si Non, puisqu’il y a bien un mal présent : je dois utiliser la réaction colérique, mais avec finesse.

    2°a) Si la société m’autorise quelque esclandre, et la fuite, je peux partir en claquant la porte, ou, mieux, après m’être comporté de manière inattendue, comme par exemple « tendre l’autre joue »,..etc, auquel cas je serais fier de moi d’avoir paru juste malgré l’injustice. De plus, la rupture dans le comportement aura suffit à signaler ma désapprobation des actes de l’auteur, ce qui pourra m’attacher quelques alliés à terme.

    2°b) Si la société ne m’autorise pas d’esclandre, ni la fuite, je dois utiliser ma colère à élaborer une stratégie pour me sortir aussi vite que possible de cette situation. Ma finalité deviendra alors la perspective prochaine de me libérer de ce Mal, ce qui va donc me mettre dans l’état moral d’Espérance.

    Si Oui, alors je peux me révolter. Mais quelle est alors la vengeance, la punition à choisir ? Il faut bien évidemment qu’elle soit bénéfique et éducative, c’est-à-dire qu’elle vise à éviter toute récidive.

    Ce simple petit exemple était pour montrer que la régulation des humeurs n’implique pas uniquement des méditations, pour prendre conscience de ses propres états, mais encore, d’abord d’une compréhension de leur origine au plan moral, puis ensuite d’une capacité à agir dans la vraie vie, de manière adaptée au contexte, compte tenu des répercussions futures de ces actes, pour y répondre.

    En effet, une passion pousse à faire des choix dans l’urgence. Cette urgence est parfois dictée par la réalité elle-même. Si une passion nous fait faire toujours les mauvais choix, dont les fruits dans la réalité auraient alors pour effet en nous-même de produire la même passion, on ne pourrait jamais s’en départir, puisque nous serions alors dans un cercle vicieux.

    Donc se poser, d’accord, quand c’est possible, mais de toute façon, ça ne suffit pas.



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    ffi 7 octobre 2017 11:37

    @Gollum
    Merci pour le lien.

    Tu vas me dire que je ne suis jamais content, mais il y manque à mon goût la dimension morale et affective. J’y aurais donc adjoint un paragraphe final commençant par « Et il y a encore une dimension affective », car ce n’est pas que corporellement, ni qu’intellectuellement, que l’on jouit du beau.



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    ffi 7 octobre 2017 11:29

    @yoananda
    Mais je n’ai pas dit qu’il était faux qu’on puisse réguler ses humeurs. Au contraire, je l’ai admis, en citant notamment l’exemple de l’hypnose.

    Le point était que, comme les humeurs découlent des sentiments - peur, colère, excitation, goût, dégoût - qui ne sont pas nécessairement illégitimes et qui découlent de notre compréhension du monde, pour que la régulation soit vraiment correcte, il faut encore y ajouter une dimension morale et affective, pour donner à comprendre et, si possible à aimer, sinon accepter, ce qui passe généralement par des métaphores et des analogies, comme l’a montré Milton Erickson. Sans cette dimension, à mon avis, cela reste du nihilisme.

    C’est pourquoi, pour ma part, je préférerai toujours une auto-hypnose (une méditation), mais habité par un Dieu vivant, c’est-à-dire une prière, où je recueille la grâce.



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    ffi 6 octobre 2017 14:15

    @yoananda
    Qui ai-je jugé de manière péremptoire ? Voit-donc la manière tordue qu’à Gollum de relater mon échange avec lui sur la MQ... Toi qui y a assisté. Tu es témoin qu’il raconte des fariboles à ce sujet. Quelqu’un de vraiment sain d’esprit ne ferait jamais ça.



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    ffi 6 octobre 2017 14:04

    @Gollum grand menteur :

    « ffi grand expert de la MQ : ». Pas mal : Equations de Madelung, de Dirac-Madelung, potentiel quantique de Bohm, expériences de Couder. Tu aurais rappeler la teneur exacte de la discussion.

    Mais comme tu es d’abord un manipulateur... Normal, c’est la planche de salut de ceux qui sont dans le faux.



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    ffi 6 octobre 2017 13:55

    @Gollum
    Certainement, ça marche. Même des gens tout maigrichon, avec une face de mort-vivant, sortant de l’HP, me l’ont confirmé.

    Dans l’évangile, en effet, l’hypnotiseur, c’est Dieu, et il parle par métaphore. Dieu, s’incarnant, et connaissant parfaitement la nature humaine, employa logiquement la métaphore et la parabole, car il vint « soigner les malades ».

    Bon, si tu n’y crois pas (en Dieu), tu peux considérer la prière comme auto-hypnose, avec Dieu comme hypnotiseur, et toi comme hypnotisé.

    Puisque tu n’y crois pas, restons-en donc aux faits : L’hypnose fonctionne. Elle peut servir de porte d’entrée dans le subconscient. Bien utilisée, elle peut agir sur le subconscient, et soigner divers troubles maniaques. Mal utilisée, elle peut produire de considérables perversions. Le phénomène est lié à la structure de l’intellect de l’homme.

    Ce phénomène, empiriquement connu depuis l’aube de l’humanité, est à la base de toutes les religions, qui, à leur diverses manières, tentent de justifier son existence et aussi d’en tirer partie - Pour le meilleur, comme pour le pire.

    Assez récemment, l’hypnose Ericksonienne a bien montré que les métaphores ont un intérêt thérapeutique, comme que je te l’apprenais ci-dessus : Elles permettent de dévier un flot de pensée mal orientées.

    Ainsi, nous avons montré l’existence chez l’homme d’un état second, où la vigilance est inférieure à l’état de veille et qui donne accès au subconscient, lequel peut alors être modelé de l’extérieur. Il n’y a nul besoin de la justification métaphysique bouddhique pour expliquer ce phénomène, même si, à ce stade, elle est encore possible.

    Cependant, l’hypnose fait un fort appel au coté affectif de l’homme, coté affectif que le bouddhisme se fait fort d’occulter : on peut dire que le bouddhisme n’est franchement pas la meilleure voie d’accès à ce phénomène. Pensez-donc : comparez les années de pratiques nécessaires aux 20 secondes qu’un hypnotiseur met pour vous pousser en trans profonde... Et puis une fois qu’on à accédé à cet état, on fait quoi ? Si c’est pour apprendre à faire le mort-vivant... si Dieu il y a, il est plein de sentiments : il est vivant, il n’est pas néant. C’est à ça qu’on reconnaît le bon berger.



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    ffi 6 octobre 2017 09:34

    @yoananda

    J’ai expérimenté, et j’ai constaté l’inefficience du truc. À problème moral, remède moral. À désordre affectif, remède affectif. Bouddha, « l’éveillé », dont les continuateurs parviennent à continuer à dormir, même malgré l’occurrence de bruits assourdissants... Bouddha, qui fit tout pour se départir de toute forme d’affect. L’Homme est un être fait d’affection, le nier est une erreur.

    Au contraire, il convient de prendre ceci en compte. Si ce sujet t’intéresse, tu peux réfléchir à l’hypnose Ericksonnienne. [Avec ma nuance : en gros, pendant la prière, qui peut être prise pour une auto-hypnose, l’hypnotiseur, c’est Dieu, l’hypnotisé, c’est soi].

    Et puis garde-toi des jugements péremptoires de Gollum sur ma face, ne serait-ce qu’au vu de la manière dont il s’est planté pour qualifier mes réflexions sur la Mécanique Quantique... (Pour sa part, il est plutôt à chercher dans la MQ une preuve de l’ésotérisme)



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    ffi 6 octobre 2017 09:15

    @Gollum
    Respire. Je suis certainement, contre mon gré, la punition de ton Kharma. Il te faut donc soumettre ton esprit à cette injustice qui te frappe.

    Mais bref. Si tu répètes dix fois les mêmes choses, c’est peut-être aussi que tu tournes en boucle ? En effet, je t’ai adressé une question pour avancer le sujet, que tu avais lancé : « En quoi le contrôle conscient du système neurovégétatif, apporterait-t-il une réponse à nos problématiques morales d’Êtres humains ? ». Tenter d’y répondre aurait été pour toi l’occasion de ne pas de répéter.



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    ffi 3 octobre 2017 19:20

    @yoananda
    Pourquoi devrais-je CROIRE ? Je veux COMPRENDRE.

    Or je ne comprends pas en quoi s’adonner au contrôle de ses facultés physiques permettrait de parvenir à une perfection morale. SE COMPRENDRE physiquement, n’est pas SE COMPRENDRE moralement, ni COMPRENDRE le monde dans lequel on vit.

    C’est sur ce passage, du contrôle physique à la sérénité morale, que Gollum glisse sans mot dire. Mais de mon point de vue, s’adonner à des exercices de contrôle total sur soi physiquement, au plan moral, c’est en soi acquérir un penchant totalitaire, puisque c’est se concevoir comme une machine, dénuée d’affection.



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    ffi 3 octobre 2017 18:59

    PS : Le contrôle du corps n’a rien à voir avec la gestion de ses propres affects.



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    ffi 3 octobre 2017 18:57

    @Gollum
    Quel flot de haine, que tout ça... Et après monsieur veut se faire passer pour une blanche colombe dont le cœur est illuminé de paix ?

    Tes réaction sont l’illustration même du bug dans ton raisonnement : Tu ne sembles pas pouvoir avoir de réelle compassion, et mon avis est que c’est une conséquence de l’idéologie bouddhique.

    En effet, les problèmes psychiques - sauf problème physiologique, viennent du plan moral. À problème moral, il faut administrer un remède moral.

    Or dans ce que tu m’indiques, à problème moral, tu prétends qu’il faut administrer un remède physique. Ainsi, si tu te prends à haïr - à tord où à raison, pour t’apaiser, tu va chercher à respirer d’une certaine manière, tu vas appliquer certains exercices corporels à la lettre.

    Certes, ton corps s’apaisera, mais les raisons de ta haine continueront d’exister : Tu n’auras soigné que les symptômes, mais pas la cause, laquelle continuera donc d’agir.

    Clairement, selon ce que tu m’avoues, le bouddhisme se montre immoral. Ni le moral, ni la morale n’existe. Il n’y a que le corps, la chair qui est pris en compte. C’est donc zéro du point de vue de la spiritualité et de la gestion des affects. En effet, tu montres assez souvent un caractère un peu tyrannique, car tu ne sembles pas pouvoir discuter courtoisement.

    Personnellement, malgré nos désaccord, toujours je te respecte.