Trois grands mythes sur le capitalisme
Etre en faveur des entreprises est-ce la même chose qu’être en faveur du capitalisme ? Le capitalisme génère-t-il une distribution injuste des revenus ? Le capitalisme est-il responsable de la crise financière récente ? Le professeur Jeffrey Miron de l’Université d’Harvard répond à ces questions, en décrivant les trois mythes les plus communs sur le capitalisme.
12 réactions à cet article
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3min28 secondes de propagande puante pour un système moribond qui a tout détruit, génère l’esclavage et dresse les uns contre les autres.
concurrence libre et non faussée ? quelle BLAGUE !!
il n’est qu’a voir ce qui est généré par ce genre de CONNERIES, ça finit par quelques grandes compagnies qui s’entendent sur les prix pour mieux plumer le consommateur, un monde ou les gros bouffent les petits, ou les plus fortunés décident de ce qui est bien et de ce qui est mal et l’imposent au reste de l’humanité, BEEEEUUURK !
marre de cette propagande ricaine sur avtv !
ici c’est la République et la pauvre philosophie dont nous abreuve ce triste sire plus haut n’est pas compatible avec nos valeurs !
voilà les bienfaits du capitalisme aux état-unis : les familles à la rue, aucune défense des salariés-esclaves pressurisés,la propagande publicitaire permanente et ultime, pas de vacances, pas de temps pour vivre, pas de services public,va te faire soigner dans un hopital qui applique le capitalisme, tu verras de quoi il s’agit : tu peux crever, si t’es pauvre c’est ta faute !
la sécurité sociale ? des énormes entreprises capitalistes d’assurance ultra-chères, obligatoires, qui te laissent sur le carreau quand tu as un vrai problème !
voilà le capitalisme : privatisation des profits, socialisation des pertes, le gvt étazunien rempli de membres de grosses entreprises capitalistes qui mènent une politique anti-sociale, imperialiste (souvenons-nous de pinochet en j’en passe, un million de mort en irak, le financement de l’effort de guerre nazi par les grandes banques capitalistes), le renversement par la violence et la guerre de gvt démocrates qui appliquent une politique de partage des richesses communes qui gênent les profits des grandes entreprises capitalistes !
marre de cette propagande puante !-
Ce pourri de Jeffrey Miron qui vient nous dire que les dérives du capitalisme, et notamment "la crise" sont de la responsabilité des gouvernements accusés de laxisme, alors qu’ il n’y a plus de gouvernements nul part (ce ne sont plus que des hommes de paille mis en place par les bankstéres) ; c’est d’un cynisme insoutenable !
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effectivement les gouvernement font ces politiques à la demande ... des capitalistes. Souvent ils financent leurs campagne, et après ils les invitent dans des restaurants de luxe, leur offre leurs yacht pour les vacances etc....
Quand les gouvernements ne suivent que la volonté des capitalistes et leur désir d’accumulation de richesse, le résultat de leur politique est bien donc le fruit du capitalisme, puisque les gouvernements n’auraient pas pris ce genre de décision dans un système non capitaliste.
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"il n’y a plus de gouvernement nul part"
certains méritent vraiment la crise qui nous tombent sur la tronche... -
A trop vouloir défendre l’indéfendable, on devient parfaitement ridicule.
Plus de tels propos s’amoncellent sur ce site, plus ils desservent la cause qu’ils prétendent soutenir.Continuez donc.
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voilà les définitions historiques du capitalisme :
"Le terme "capitalisme" provient du mot latin ’caput’ qui signifie « la tête », à l’origine la tête de bétail (le cheptel)4,5,6.
Le mot apparaît postérieurement 7 à ceux de « capital », de « capitaliste » , ou de « mode de production capitaliste » qui sont au XIXe siècle les termes régulièrement utilisés par Marx :- -Le mot « capital » apparaît au XIIe siècle dans le sens de fonds, d’avance, de masse d’argent à faire fructifier8,9,10.-Le mot « capitaliste » désigne peu après un « détenteur de richesses » pour ensuite désigner l’entrepreneur, « celui qui engage une masse d’argent dans le processus de production ».-Le mot « capitalisme » apparait en Allemagne au XIXe siècle, employé par les socialistes allemands comme Engel, puis des sociologues-historiens comme Max Weber11 et Werner Sombart 12
Il ressort que l’étymologie du terme « capitalisme » renvoie en permanence à ses deux caractéristiques fondamentales :
- – le « capital » comme masse d’argent, génératrice de revenus ;– le « capitaliste » comme agent opérationnel ou comme vecteur social8.."
Donc le capitalisme repose sur l’accumulation de richesse par l’entrepreneur, et non sur la répartition de richesse.
Les fonds de pension ont montré qu’on peut être capitaliste et contre les entreprises. Préférant sacrifier les entreprises pour avoir des taux de rentabilité irréalistes, le capital contre le travail.
Derrière chaque période où la répartition de richesse on été favorisées, c’est qu’il y avait une volonté politique pour que cela se passe comme cela, que le plus grand nombre puisse bénéficier des gains de richesse de la société et en premier lieu ceux qui les produisaient vraiment, les travailleurs. En Europe il y a eu de meilleures répartitions de richesses, non pas grâce aux capitalistes, mais surtout au gouvernements plus ou moins à gauche, ou aux luttes syndicales.
Les périodes où les dérèglementations on laissé aux capitalistes le choix de la répartition des richesse, elles se sont concentrées dans les mains des capitalistes. Comme depuis les années 80 en occident. Au 19ème siècle, le capitalisme s’est développer sans vraiment créer une répartition des richesses, les ouvriers avaient une vie très dure.
La crise vient bien d’un désir d’accumulation de richesse de certains, et du mythe de la propriété pour tous même quand on n’a pas les moyens ( mythe capitaliste ), donc du capitalisme.
En fait il mélange le libéralisme et le capitalisme. Mais le capitalisme n’est pas forcément libéral. Les entreprises en position de force n’ont pas d’intérêt dans le libéralisme puisque cela dessert leurs intérêts (pouvoir acculer encore plus de richesse).
Bref son discours c’est de la propagande pure et simple.
La crise démontre en fait les ravages d’un système basé sur le libre désir de certains d’accumuler des richesses de façon aveugle, qui concentre les richesses dans les mains de quelques uns et appauvri beaucoup..
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Faut pas s’énerver. Le mode de communication adopté est totalement ringard. On assène 3 principes aux auditeurs en les regardant droit dans les yeux et avec l’assurance d’un gourou. Si le mec, déjà, arrivait à convaincre son fils de manger sa soupe ... A Harvard il n’y a pas que des lumières, visiblement .
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La différence entre le public américain et le public français c’est que nous ne sommes pas (encore) assez con pour croire sur parole ce que nous dit un mec avec des lunettes.
Quoiqu’à force de détruire l’éducation nationale on va finir par arriver au même niveau, mais pour le moment nous savons toujours différencier ce qu’est un argument d’une propagande.-
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Je vous rappelle juste que l’ordinateurs et l’internet, qui vous permettent d’écrire vos articles ou vos commentaires sont issues de ce système.Le capitalisme n’est pas mauvais en soi, il faut mettre en place des garde-fou qui nous permettront d’éviter les dérives de la finance qui nous ont plongé dans le merdier actuel,il faut détruire la finance qui permettent aux rentiers de s’enrichir sur le travail des autres.Il ne faut donc pas jeter le bébé avec l’eau du bain, et éviter de tomber dans le piège qui consiste à nous faire croire qu’une personne de gauche est forcément anti-capitaliste.Un capitalisme de gauche dans lequel les jeux ne sont pas truqués, ou la rémunération est fonction de la créativité et du travail, est possible. Dans ces conditions, je n’ai aucun soucis avec le capital, que chacun puisse s’enrichir grâce à ses mains et à son intelligence ne me choque pas, Qu’une entreprise privée basé sur ces principes gagne des millions voir des milliard n’est pas un problème.-
Qu’une entreprise privée basé sur ces principes gagne des millions voir des milliard n’est pas un problème.
Si. Une entreprise qui gagne des milliards achète, corrompt les gouvernements. C’est si dur à comprendre ? Certes le capitalisme marche mieux que le collectivisme, il faut donc le garder, mais il faut s’en tenir à des structures petites et moyennes.En fait pour éviter les monopoles, les collusions et la corruption, il faut un capitalisme de PMEs, pas plus.Ce que ne propose pas l’Institut Coppet ment-débile. -
D’accord avec vous joelim, dans une société capitaliste saine, aucune entreprise ne devrait faire des milliard de résultat net,quelque soit sa taille, sinon ça vaudrait dire qu’il y a un problème de redistribution.
Pourque cela fonctionne il faut trouver d’autres méthodes de financement que les fonds de pension. les banques privées etc.. qui chercheront toujours un retour sur investissement le plus juteux possible.Car pas de financement = pas de croissance ; pas de croissance = pas de travail.
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