La preuve de son hypocrisie, ses références : les sites sales que sont "jihad watch" et "bivouac id". Le premier site est géré par un certain robert spencer, un islamophobe patenté cité plus de 40 de fois dans le bréviaire de haine du monstre d’Oslo. L’auteur de la tuerie d’Utoya le présente comme l’un de ses meilleurs inspirateurs. Il suffit de faire un petit tour sur le second site pour savoir à qui l’on a affaire, des apologistes du choc des civilisations. Ces groupuscules ont pour maître à penser le juif intégriste d’origine polonaise, daniel pipes. Inutile de rappeler que l’idéologie qui habite ces gens-là est celle-là même qui a poussé le monstre norvégien à commettre le massacre que l’on sait.
Aliot, le gars qui a été bombardé vice-président de la PME LE PEN tout comme Eric Lozio son prédécesseur dans le coeur de l’héritière a été nommé il y a quelques années secrétaire national du front. Du népotisme à l’état pur !
Aliot devrait savoir qu’il est sur un siège éjectable, lorsque l’héritière a quitté Lorio pour lui ce dernier a tout perdu (une mise à mort politique et financière). Il doit méditer sur ce que Lorio a confié à Laszlo Liszkai, l’auteur de "Marine Le Pen, un nouveau front national ?" : "Aucun mari des filles Le Pen n’a pu résister longtemps sous le même toit que le chef, qui est aussi le père de leur femme".
Jusqu’à quand l’actuel compagnon de la benjamine du vieux menhir va conserver son job de rêve et son rôle de gendre ? Nul ne le sait et comme le souligne le canard enchaîné "gendre chez les Le Pen est un métier risqué" !
Arrêtez vos bobards miss fausse bouddhiste" ! Seulement 10% des victimes de viol dénoncent leur agresseur en France.
A la question "pourquoi est-ce si difficile pour les femmes victimes de ce crime de porter plainte" ? les auteurs du livre "le viol, un crime ordinaire" donnent cette explication limpide :
Parce qu’à cause de nos préjugés sur le viol (Un viol a
lieu la nuit, par un inconnu, avec un couteau), les victimes ne mettent pas le
mot « viol » sur ce qu’elles ont vécu.
Parce qu’elles craignent de ne
pas être crues, d’être mal jugées ou d’être réduites à l’état de victime. Trop
souvent la société leur renvoie le message « peut-être l’as-tu bien
cherché » ou « maintenant, passe à autre chose ». Parce que
beaucoup de femmes sont violées, jeunes, par quelqu’un de leur entourage.
Comment en parler ?
Parce qu’elles ne font pas
confiance à la procédure judiciaire. Elles craignent le « Mais pourquoi
avez-vous écarté les jambes ? » du policier, le « Enfin, pourquoi ne
vous-êtes vous pas débattues ? »
Parce qu’elles veulent oublier.
Il est tellement difficile de prendre conscience qu’on n’est pas complètement
maître de sa propre vie, que celle-ci peut nous échapper d’un moment à l’autre.
Qu’il est possible d’être humilié, chosifié, même si on y est pour rien. Elles
préfèrent se taire car elles pensent que c’est un moyen d’oublier.
Elles ont peur d’attrister leur
entourage ou craignent les représailles de l’agresseur. Réduire sa victime au
silence, en disant qu’elle a bien cherché ce qui lui arrive, fait partie de la
stratégie des agresseurs. Elles sont freinées par un sentiment de loyauté,
quand il s’agit d’un membre de la famille ou d’un ex-conjoint. En dénonçant,
elles craignent de briser une cohésion familiale. Alors que c’est bien le
violeur qui l’a brisée.
Le viol est une agression qui
utilise les organes sexuels, il n’a rien à voir avec la sexualité, qui est un
partage. Mais on confond viol et sexualité. La sexualité étant intime, tabou,
les victimes de viol n’ose pas parler de ce qu’elles pensent être
« privé ». Car si elles étaient agressées sur n’importe quelle autre
partie du corps, elles en parleraient plus facilement.
Souvent, aussi, les victimes
parlent, mais elles ne sont pas entendues.
C’est qui les "nous" ? Les fachos marinistes ou les pervers sexuels décrits dans le livre "le viol, un crime ordinaire" ? Savez vous qu’en France toutes les 7 minutes une femme est victime de viol et qu’une femme sur six est victime de ce crime au cours de sa vie ?
Un contributeur de cet hebdomadaire, un certain Hervé Rysen, a même écrit un livre sur ce sujet qu’il a sobrement intutilé "Israël et la traite des femmes blanches" :