berphi

@Gollum

La condamnation du peuple juif vient essentiellement dans le but d’exempter les romains de toute faute, puisque ces textes ont été écrits tardivement, il n’était pas question d’incriminer les romains, valait mieux pas..

L’écriture de ce texte est postérieur à Constantin, bien avant le concile de Nicée, bien avant que Rome ne le récupère. Les historiens s’accordent sur son origine qui n’est autre que celle de l’église d’Antioche.

@Dizier
Bien que taquin, notre ami Gollum dans sa grande sagesse vous oriente sur la Septante que vous trouverez en ligne (avec une traduction). Gollum reconnait sans le dire une rigueur à adopter quant à l’interprétation des textes qu’il ne s’accorde pas, il continue encore et toujours, pour contredire ses détracteurs, à citer l’évangile de Matthieu dont l’auteur ne fut pas l’apôtre du même nom pour ne pas avoir été témoin oculaire du Christ mais appartint à la fameuse team d’Antioche (théorie des deux sources), conclu par une condamnation du peuple juif (Matthieu 27,25) quand le Christ demande au père de pardonner "parce qu’ils ne savent pas ce qu’ils font".  

@Gollum

 le petit Jésus en voulant illustrer sa prochaine venue a dit que vous n’aurez pas le temps de visiter tout Israël que je serais déjà revenu

Quelle est votre source ? 

Bonne année à tous !

On peut prendre le pari que Micron finira son mandat jusqu’à la dernière seconde du dernier jour et pas seulement pour avoir encore ce dernier joujou qu’est l’article 16 à essayer mais parce que et surtout un président n’est pas attaquable en justice, il est à l’abris de toute poursuite... S’il avait dû dégager ce serait fait depuis longtemps ; il a ses appuis à l’Assemblée et au Sénat qui peuvent aussi lui permettre de mettre en place l’article 16 et finir son agenda, ce pour quoi il a été placé. 

Ayant revu récemment l’excellente série des Rois Maudits sous sa première version avec les jeux magnifiques d’acteurs de Jean Pia, Hélène Duc, Louis Seigner, je ne peux pas ne pas m’imaginer une fiction qui aurait comme titre les Présidents maudits de la cinquième.