@rogal=Bonsoir,l’Islam a 14 ans, le christianisme 21 ans, en termes de siècles. Ce que nous faisions à 14 ans.... vous le savez. Mais écoutez Hakim El Karoui qui propose une analyse utile sur l’islam et la guerre intestine qui s’y joue. Faute de temps pour pondre ici au moins 2 pages sur le sujet.
@Sparker=Bonjour,
aujourd’hui, dans les christianismes il n’y plus de citoyens
inférieurs. Dans l’islam il y a les dhimmis, les citoyens de second
ordre qui payent une protection comme dans les mafias, qui sont
tolérés sans avoir tous les droits des musulmans.
@Sparker=Bonjour, aujourd’hui, dans les christianismes il n’y plus de citoyens inférieurs. Dans l’islam il y a les dhimmis, les citoyens de second ordre qui payent une protection comme dans les mafias, qui sont tolérés sans avoir tous les droits des musulmans.
Rappel :
la France n’a rien d’islamophobe, les Français ne haïssent pas
l’Islam. Le faire croire ne passe pas, et pas seulement par manque de
talent des auteurs qui affirment le contraire. 70%, au moins, des
Français musulmans sont compatibles avec 90%, au moins, des Français
non musulmans. L’islamophobie n’est pas un délit mais un droit comme
le blasphème : celui de critiquer les croyances, toutes les
croyances. Qu’elles soient d’une idéologie ou d’une religion. Quand
M O affirme que « l’Islam c’est de la merde », il en a le
droit. S’il connaissait le soufisme, il en dirait autre chose pour
cette branche spirituelle de l’Islam que les pratiques chiites et
sunnites condamnent. Le Coran, les sourates, les hadiths, les
commandements de certains imams, le comportement en France des
partisans de l’Islam politique, les comportements, paroles et actes,
que l’on observe dans les pays musulmans, du Maroc à l’Indonésie,
donc tout cela est-il compatible avec la république démocratique
française ? La réponse que l’on peut en avoir résulte de ce
que l’on observe, lit voit, entend, subit parfois. La réponse est
non. La politique française doit donc vivre les conséquences de ce
constat banalisé et, avec courage, chercher les solutions. Mais là
y a-t-il du monde ?