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Éric Guéguen

Éric Guéguen

Le monde actuel en 20 penseurs :
 
Platon - Aristote - Lucrèce - Farabi - La Boétie - Montaigne - Spinoza - Rousseau - Hegel - Tocqueville - Nietzsche - Ortega y Gasset - Polanyi - Strauss - Arendt - Vœgelin - Villey - Dumont - MacIntyre - Lasch
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« Le citoyen typique, dès qu’il se mêle de politique, régresse à un niveau inférieur de rendement mental. Il discute et analyse les faits avec une naïveté qu’il qualifierait sans hésiter de puérile si une dialectique analogue lui était opposée dans la sphère de ses intérêts réels. Il redevient un primitif. Sa pensée devient associative et affective. »
(Joseph Schumpeter, Capitalisme, socialisme et démocratie, Quatrième partie, XXI, 3 (p.346)).
 
Contact : [email protected]
Le Miroir des Peuples, éditions Perspectives Libres, 2015

Tableau de bord

  • Premier article le 05/12/2012
  • Modérateur depuis le 28/02/2013
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Derniers commentaires




  • 1 vote
    Éric Guéguen Éric Guéguen 16 novembre 2016 22:31

    @Qiroreur
     
    Merci de votre confiance. Les réponses à vos questions s’y trouvent en partie III, amplement développées. Pour le "service après-vente" dialectique ou tout problème de réception :
    [email protected]
    Bien à vous.



  • 3 votes
    Éric Guéguen Éric Guéguen 16 novembre 2016 16:20

    @ART.35
     
    Alors, je suis peut-être passé à côté, mais pouvez-vous me dire si l’analyse marxienne offre un outil à mettre au service de la solidarité, hors de la matière ?



  • 3 votes
    Éric Guéguen Éric Guéguen 16 novembre 2016 10:19

    @L’Equatorien
     
    Voilà enfin le grand problème mis au jour : celui du temps. En tout cas vous semblez en avoir vous, du temps, et être très peu sensible à l’esprit de synthèse.
     
    Et vous croyez que j’en ai, du temps devant moi ? J’en ai RAREMENT, du temps devant moi, et je le prends TOUJOURS, même pour lire au mieux et répondre aux gens. Je ne sais pas où vous vivez mais pour ma part, quand je réponds à 2 heures du mat’, il est 2 heures du mat’. Et j’en ai tellement peu de temps – comme la plupart des gens ici je suppose – que je dois faire des sacrifices. Et vous voudriez me reprocher de me rétribuer en « ego » ? La seule chose que mon ego tire de cette aventure, c’est la satisfaction de voir des efforts payer (pas ici, mais ils paient, je vous l’assure, il suffit déjà de lire la plupart des commentaires spontanés sur YouTube). Je ne serais peut-être pas si attaché à l’audience si je n’avais pas à justifier continuellement ma démarche, et c’est quelque chose qui, curieusement, n’est valable QUE sur Agoravox. Le fait que j’aie en quelque sorte « fait mes premières armes ici » n’y est sans doute pas étranger.
     
    Et en effet, ici, malgré le peu de temps que je peux avoir devant moi, la majeure partie doit être consacrée en permanence à montrer patte blanche et à prouver qu’on est légitime aux yeux de gens qui ne savent plus que vous reprocher. Oui parce qu’en définitive, je ne sais toujours pas ce que vous me reprochez… Mais bon, à chaque production c’est la même chose, quand ce n’est pas vous, c’est un autre qui s’y colle.
     
    On publie sur Agoravox, et hop, on attire à soi des gens qui remettent en cause toute légitimité préalable. On dit qu’on écrit un bouquin, et hop, rebelote. On sort le bouquin, ça ne suffit toujours pas. On écrit des articles sur différents sites, c’est que l’on commence à faire partie « du système », ou d’un réseau quelconque. On produit des vidéos ? Quelle horreur ! Ego surdimensionné ! On passe sur TVlibertés ? Et alors ? Pour quel résultat ? Tout ceci, je l’ai entendu. À chaque étape, il faut avoir affaire aux esprits chagrins, auxquels j’ai encore la faiblesse de répondre, ce qui est une perte de temps considérable quand on se revendique « amateur », chose déjà méprisable en soi pour certains. Je produis des choses, je suis certains conseils de lecture, je rencontre des gens : je ne compte donc pas m’arrêter là. Je poursuis mon petit bonhomme de chemin.



  • 2 votes
    Éric Guéguen Éric Guéguen 16 novembre 2016 01:08

    J’entends trois choses :
     
    * Premièrement, un "philosophe" est nécessairement démuni matériellement (Jésus plus que Sénèque).
     
    * Deuxièmement, le "titre" doit immanquablement lui être conféré à son insu (donc post-mortem, dans l’idéal).
     
    * Troisièmement, poser et faire des phrases devant une bibliothèque, qui plus est d’ouvrages de philosophie, c’est fatalement faire preuve de vanité et manquer les deux premiers points.
     
    -------------
    Tout homme devrait être naturellement porté à philosopher, autrement dit à se poser des questions d’ordre existentiel, car en définitive c’est à peu près la seule chose qui le distingue de l’animal (avec le rire me semble-t-il). Seulement nous sommes déjà loin du compte et de moins en moins de gens correspondent à cela, en partie pour la raison évoquée succinctement dans la présente vidéo. Alors si pour être reconnu "philosophant" il faut en plus remplir un cahier des charges... Que de précautions prises pour en arriver, au bout de 300 lignes, à des arguments ad personam !



  • 2 votes
    Éric Guéguen Éric Guéguen 16 novembre 2016 00:33

    @Qiroreur
     
    Bonsoir.
     
    Je ne vois pas non plus la spiritualité comme un refuge, mais comme composante essentielle d’une vie d’homme bien remplie, c’est-à-dire conforme à la nature humaine. Je parlais de refuge eu égard à certaines idéologies mettant tout en œuvre pour produire la solidarité mais disposant au service d’une telle fin des moyens strictement matériels, soit les moins enclins à la susciter.
     
    Et pour répondre à votre question, il me semble que toutes les tentatives "communautaires" ou "socialisantes" qui ont émaillé le XIXe siècle ont, toutes autant qu’elles sont, constitué des réponses plus ou moins heureuses et plus ou moins bancales au défi lancé par le libéralisme et à l’individualisme anthropologique qui le sous-tend. Il s’agissait de renouer le lien ancestral rompu sans en passer par des moyens holistes - en quelque sorte - en réenchâssant les individus dans des communautés d’appartenance (malheureusement socio-économiques la plupart du temps).

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