Il faut relativiser votre propos : ’’Selon les CDC, la majorité des décès surviennent chez les personnes
âgées de plus de 75 ans (avec des taux de mortalité de 51,3 à 99,4 décès
pour 100 000 individus), et dans les régions les plus défavorisées.
L’Afrique subsaharienne paie le plus lourd tribut à la grippe (avec des
taux de mortalité de 2,8 à 16,5 pour 100 000 individus), talonnée par le
bassin oriental de la Méditerranée, et l’Asie du Sud (3,5 à 9,2 pour
100 000).’’.
Les stations de sports d’hiver étant rarissimes en Afrique subsaharienne (!), il faut croire que la saisonnalité de la grippe est à relativiser selon les régions du monde. Ce serait peut-être plus les conditions de vie (plus de temps passé à l’intérieur) que le climat qui expliquerait la saisonnalité de la grippe sous nos latitudes.
Le sujet c’est détecter une infection grâce à un test. Quand un test n’est pas fiable à 100% (quel test l’est ?), tout test positif demande une confirmation par une autre voie. C’est aussi simple que ça et c’est ce qui se passe pour des maladies graves, comme l’infection au VIH, au Treponema pallidum, etc ... Fiabiliser un diagnostic c’est du b-a-ba.
Vous êtes de mauvaise foi sls0, car Perronne parle du port du masque dans la rue et sur le site de l’OMS il est écrit :
’’L’OMS recommande le port du masque médical aux catégories de personnes suivantes :
Tous les soignants dans les établissements cliniques. Voir nos orientations pour plus d’informations sur l’utilisation des équipements de protection individuelle par les agents de santé.
Toute
personne qui ne se sent pas bien, y compris celles qui présentent
des symptômes bénins, tels que des douleurs musculaires, une légère
toux, un mal de gorge ou de la fatigue.
Les personnes qui s’occupent de cas présumés ou confirmés de COVID-19 en dehors d’un établissement de santé.
Le
port du masque médical est aussi recommandé aux personnes à risque
indiquées ci-après lorsqu’il est impossible de garder une distance d’au
moins un mètre avec les autres, car elles risquent davantage de
développer une forme grave de la maladie et d’en mourir :
les personnes de 60 ans et plus.
les
personnes souffrant de pathologies chroniques, quel que soit leur
âge : affections respiratoires chroniques, maladies cardiovasculaires,
cancers, obésité, sujets immunodéprimés et diabétiques.
Le port de masques non médicaux en tissu par le grand public est conseillé dans les endroits où la distanciation physique est impossible, dans le cadre d’une approche globale,
consistant à améliorer la ventilation, à se laver les mains, à se
couvrir la bouche et le nez lorsque l’on éternue et que l’on tousse,
etc.’’
Ce qui permet de se poser des question sur la fiabilité de l’OMS, qui au début de la pandémie disait que le masque ne servait à rien.
Ayant un cerveau entre mes deux oreilles, j’ai porté un masque pour faire mes achats au super-marché dès qu’on a parlé de la pandémie, et malgré les rires en coin des couillons qui maintenant sont obligés de le porter !