... qu’on puisse condamner les excès de la frontière entre Israël et ses voisins, on est *TOUS* d’accord.
... mais qu’on en profite pour oublier qu’une frontière doit etre controlée, par la force si necessaire, c’est de l’angelisme.... surtout quand ceux qui la violent sont de pauvres couillons embarqués dans une aventure pilotée par les mafieux du Hezbollah.
Et là-dedans, Nathalie Portman ??? idiot utile comme d’hab, innocente comme un bisounours et les requins alentours qui en profitent pour manipuler d’autre bisounours un peu partout !
Israel : 6 millions... Gaza 2 millions... (+ beaucoup d’autres alentour) vous pensez qu’en France on pourrait incorporer 20 millions d’immigrants completement differents, culturellement, spirituellement, et avec des objectifs differents ?
Israel joue sa survie en repoussant, avec violence certes, les tentatives des voisins plutot qu’attendre une situation beaucoup plus meurtriere..... alors que N Portman ne sais rien. Qu’elle reste dans son art puisqu’elle y excelle...
... si les français veulent avoir une alternance possible, il est urgent d’avoir une gauche a gauche de LREM et une droite a droite des Républicains.
C’est juste une question de choix...
qui souhaite que l’excellent Macron dans sa restauration de la fonction de président, continue a brader la France sur l’autel de la finance mondiale a la soumission aux fonctionnaires de Bruxelles....
***** Je vous propose deux vidéos pour faire le point sur ces sujets sociétaux, qui mettent en danger le "vivre-ensemble" dans la société française d’aujourd’hui ! ****
Video ou pas, depuis quand le "vivre-ensemble" est une obligation ? et en quoi serait-ce un "danger" de ne pas le faire ?
Sur la base de quelle loi, devrai-je accepter de vivre avec (ensemble) avec des gens qui ne partagent pas les mêmes lois, les mêmes cotumes que moi ?
La république française reconnait ses citoyens, accepte de recevoir les personnes en danger chez elles, et qui fuient pour sauver leur peau (pas pour mieux vivre) et le vivre ensemble ne s’applique qu’a ses propres citoyens et ses invités(réfugies)
Il n’est nullement question de racisme, de xenophobie ou quelque chose d’autre, il s’agit de choisir avec qui on a envie de vivre, de partager un destin commun et les moyens qu’on choisi pour y arriver.
Je n’ai pas envie d’etre chinois, russe, americain.. ni algerien, marocain etc.... je veux rester français dans la France que j’ai construite et que mes enfants puissent faire de même. S’ils veulent changer, ils attendront (mes enfants) que je m’en aille et ils choisirons alors leurs options.
Et, au cas où, cela ne veut pas dire que je considère que les chinois, russes et tous ceux cités ci-dessus soient inférieurs, supérieurs, plus mauvais ou meilleurs que moi, ils sont simplement différents, je respecte, chez eux, leur mode de fonctionnement et lorsque j’en ai envie, je vais apprécier toujours chez eux et s’ils m’y autorisent, toutes leurs spécificités.
Je n’ai pas voté pour lui au premier tour de la présidentielle.
Toutes ses aventures familiales ne m’importent pas outre mesures, il suffit de reprendre en main la justice et quelques détails constitutionnels pour regler tout cela.
Mais, et c’est l’avenir de mes enfants qui ont porté mon choix : je ne veux pas qu’ils vivent dans une des régions soumises a Bruxelles ou pire, a Berlin dans’une entité Européenne que j’ai chéri avant que les mafieux la transforme en UE.
Je n’avais pas compté tout simplement sur la douleur de tous les exclus de tout, sur le parisianisme exacerbé, sur l’intoxication mediatique (je pensais bêtement que tout le monde peut penser), ni la force du dogme.
Donc, j’avais encore a l’interieur de moi-même un sentiment qui n’existe presque plus : l’amour de mon pays.
J’ai voté Marine Le PEN, un choix pertinent, malgré toutes ses erreurs : il vaut mieux un outils adapté au travail, même avec défaut, qu’un outils qui ne sert a rien même neuf et en parfait état.
Macron a gagné, je suis persuadé qu’on va le payer, cher, très cher, au propre comme au figuré.
Fillon ? même si c’est le sujet, n’est qu’un avatar de la politique : bon vent.