Donc le mec un matin, il trouve chez lui là ou sa famille habite depuis des millénaires des envahisseurs, et il met ces envahisseurs au même niveau que ceux qu’ils ont envahi, le en même temps de macron en quelque sorte, tout se vaudrait, le feu c’est l’eau, la mort c’est la vie etc-ce je vois que le mot républicaine était donc bien un avertissement dans le sigle UPR..
pour dire : nous sommes pareils...
donc il n’y a pas un seul opposant de facto d’un système moribond français..sauf les exceptions non organisées politiquement bien sur..
Bien sur, de tels moment qui ne sont pas issus de la pensée, humaine simple outil programmé pour organiser la survie physique et rien d’autre, ni du cerveau, contiennent un contentement étrange, impossible à imaginer... les mots remarquables, fantastiques, génial, wow etc n’ont pas leurs place là non plus.. cela n’a rien en commun avec un état ordinaire..ni ne peut être utilisé pour se faire mousser.. lorsque cette présence est là, pas de peur donc de fuite, pas de souffrance et la question du sens n’existe pas....et plus encore...
Salut, en général ceux qui n’ont pas eu d’expériences directes involontaires de ce genre de moments, toujours involontaires donc au delà de la pensée donc au delà de l’analyse, donc au delà de la possession par ce "je" mental illusoire contrairement au "je" physique, je ne suis par l’arbre, sont ceux qui en parlent le plus, mais pas seulement..
juste un fait.
Deux approches, la curiosité etc ou la volonté de cacher.
Peu importe.
Analyse rigoureuse, pipeau, ça ne s’analyse pas, ça se vit, la vie est le présent à jamais insaisissable, l’analyse est le passé qui est mort et donc certains éléments morts peuvent servir pour la vie pratique comme méthode.. et c’est ça qui gène, car ce sont des expériences de vie à coté de laquelle depuis des millénaires nous passons à coté..
Salut, ah le temps, ça nous concerne car depuis des millénaires nous sommes dans la fuite impossible de cet ABSOLU : NAÎTRE=MOURIR, alors forcément, cette névrose fait que le sujet intéresse, pour ne plus mourir...le chemin de la démence et de la folie, ce qui est un choix
ce temps est celui de la pensée analytique qui a comme référence elle même et son passé, de même que son programme d’analyse et la mémoire de son futur attendu ..mais tout ça c’est mort, aussi mort que mon marteau, mais c’est vital pour gérer les aspects pratiques de la vie, UNIQUEMENT CELA...
Sans la peur qui est la fuite impossible de " ce qui est", le temps n’est même pas un sujet, le présent ne contient pas de peur ni de souffrance, nous le refusons car ce présent est insaisissable, ne peut être utilisé par ce "je" mental illusoire, il y a bien un "je" physique etc, ce présent qui ne pourrait même pas être qualifié de présent en fait, à jamais inconnu, sauf une partie pratique qui peut être relativement connue, genre je fais mon abris comme ceci, je mange cela, je m’habille comme ceci, pour la survie je fais comme ceci, AVEC LES AUTRES EN COOPÉRATION ÉQUITABLE, ce qui est la nature de ce "présent"..
Oui je sais plus faux que nous humains est impossible, cela dit on y travaille dur..
l’ analyse par la pensée, une miniature microcosmique de quelque chose x qui est LA CRÉATION, est une bulle disons hors du présent, qui est vitale pour s’organiser à survivre en regardant le passé et la mémoire d’expériences pratiques cumulatrices..
l’hypertrophie de cette capacité a détruit nos autres capacités qui elles peuvent vivre ce qui est inconnu et présent...