J’ai juste vu celui sur les "naufragés de sion". C’est du délire.
En vrac, voila ce que l’on y apprend :
+Dieudonné représente quasiment à lui seul l’antisémitisme en France
(c’est incroyable l’importance que fourest lui donne). Il est raciste et il ne fait pas rire (les gens qui se déplacent à ses spectacles sont donc des imbéciles qui payent pour des spectacles pas drôles).
+Europalestine soutient le meurtre des enfants israeliens, c’est le porte parole du hamas (prononcé RRRamas) dans notre pays
+L’iran finance l’antisémitisme en France. C’est une dictature qui tire sur son peuple.
+La ldj derape, parfois (mais pas toujours hein)
+Le dîner du crif n’est qu’un dîner comme les autres, qui fait fantasmer, à tord. Il n’y a rien de choquant à ce que les politiques s’y déplacent (prière d’éteindre vos cerveaux).
+Richard prasquier fait ce qu’il veut
A la fin du reportage, Fourest met dos à dos les deux partis, tentant de botter en touche, histoire de passer pour neutre dans l’affaire (ce qui n’est pas le cas, au vu de l’ensemble de son oeuvre).
Oui, j’ai des amis libanais qui me l’ont aussi confirmé, c’est pas bon d’avoir une gueule basanée en Australie. La mega-ratonnade de cronulla est la partie émergée de l’iceberg.
C’est plus une carte postale qu’un reportage cette vidéo.
Faire du surf ou courir 45 min avant d’aller bosser, on peut le faire en France aussi...
On nous montre le gentil financier (heureux hasard !), qui nous explique "que si on travaille dur, on peut acquérir un gros niveau de responsabilités", "ici, tout est toujours positif", et "j’ai un salaire de 6000 euros net".
La gentille fille nous explique qu’elle veut travailler dans le marketing, mais la elle enchaîne les jobs de vendeuse. En France, elle stagnait devant son ordinateur, alors qu’en Australie, elle est dans "une dynamique" (comprendre par là "je dois trouver un travail absolument sinon je gicle du pays").
Le gentil garçon nous explique que maintenant, avec ses "tips", il se fait "1200/1300 dollars par seeemaaiinnee".
Bref, c’est de la propagande. Le pauvre petit jeune qui part en Australie après avoir vu ce reportage risque de sacrément déchanter une fois sur place. Ça lui apprendra à ne plus faire confiance à la télévision, ceci dit.