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Keuss :""Quels idées de la France, depuis quand le France a des idées ?""
 
Quand vous dites "le France", c’est le paquebot dont vous parlez ?
Vous même n’avez pas l’air d’en avoir beaucoup, des idées, mais si ça peut vous rassurer : la France n’est visiblement pas faite à votre image.
 
La défense, c’est encore un des rares secteurs où l’on ne délocalise pas totalement et qui reste un moteur de la recherche et de l’innovation. A choisir, je préfère voir mes impots investis dans ce secteur plutôt que dans l’importation de produits chinois. En parlant de Chine, on risque de se rendre compte bien assez tôt que notre armée n’est pas si inutile après tout.

L’armée française, comme vous dites, n’a connu quasi aucun répit en un peu plus d’un millénaire d’existence, assaillie sur chacune des frontières.
Si elle n’avait connue que des défaites, vous n’auriez sans doutes pas le privilège de parler français aujourd’hui. Et accessoirement d’en maltraiter la syntaxe... Allez donc vous acheter un manuel d’histoire, on vous offrira peut être un bescherelle en cadeau.

On peut aussi faire le rapprochement avec les néo-conservateurs américains (les "faucons" de l’ère Bush) qui sont issus d’anciens rangs trotskistes, et qui pourtant s’apparentent aujourd’hui à de la droite extrême.
C’est donc difficile de situer ces gens sur un plan idéologique, ils se distinguent surtout par une approche amorale de la politique et une obsession à remodeler la société dans laquelle ils évoluent, peu importe l’orientation de gauche ou de droite, pourvu que cela leur soit profitable à eux avant tout.

SOS-Racisme©, le racisme est notre avenir.

SOS-Racisme©, ensemble construisons le racisme de demain.

SOS-Racisme©, plus t’en mets, plus t’en as.
 
SOS-Racisme©, think racism.

C’est orwellien... ou comment en quelques années on a transformé la question marginale du racisme en problématique centrale de tout débat aujourd’hui.
SOS-Racisme, Licra & co peuvent se frotter les mains : ils ont bien su développer leur petit fond de commerce et, comme des cigarettiers, ils ont su crée l’addiction à leur produit phare : la victimisation.