"...les missiles Tomahawk utilisent de l’uranium : les têtes WDU sont
associées dans la classification aux têtes « Condor » nucléaires. Il
suffit donc de remplir de fil de fer le coeur de la sphère en plutonium
utilisée dans le « Condor », ou de la découper en plaques (une
traduction possible de l’expression « depleted ») en conservant le
matériel fissile en place, pour la transformer en « WDU » et permettre
aux Etats Unis d’Amérique de respecter les traités internationaux (en
retirant une tête nucléaire de leurs arsenaux) tout en possédant une
arme destructrice par son effet incendiaire et radiologique. A la
détonation l’uranium enrichi s’enflamme (se pyrophorise) mais la fission
n’est pas possible car la bombe a été inactivée (par exemple, le fil de
fer inséré au milieu de la bombe empêche la densité d’augmenter
suffisamment, ou alors simplement la quantité d’uranium ou de plutonium
présente a été réduite pour que la bombe ne puisse plus atteindre la
criticité)."
"A l’impact, le métal fissile s’enflamme (pyrophoricité) mais n’explose
pas car la présence de fil de fer (on parle de pit-stuffing) ou de
billes empêche la réaction d’atteindre le seuil de criticité."
"les deux tiers des ménages américains sont incapables de lever 400 $ en monnaie"
"Entre
Octobre 2008 et Juillet 2014, la population en âge de travailler a
augmenté de 13,4 millions de personnes, mais le marché du travail
des États-Unis a augmenté de seulement 1,1 millions d’habitants.En
d’autres termes, le taux de chômage parmi l’augmentation de la
population en âge de travailler au cours des six dernières années
est de 91,8%."
Le
modèle économique libéral est mort. Le socialisme a été
détruit :
la
guerre est la prochaine étape !
« Le
ministère de la Paix s’occupe de la guerre, celui de la Vérité,
des mensonges, celui de l’Amour, de la torture, celui de l’Abondance,
de la famine. » 1984
Orwell
Sarkozy a déjà été acquitté
dans l’ affaire Bettencourt
acquittement : non, car il n’ a
pas été jugé !
Le non lieu dans l’affaire Bettencourt
est circonstancié : les juges de Bordeaux, tout en décidant
de ne pas le renvoyer devant un tribunal correctionnel faute de
charges suffisantes pour caractériser le délit d’« abus
de faiblesse », illustrent dans leur ordonnance un vieil
axiome policier et judiciaire : « L’absence de preuve
n’est pas la preuve de l’absence. »
Le non lieu après l’ instruction ne
clôture pas l’ affaire qui peut être ré-ouvert suite au futur
procès Bettencourt,
un non lieu après jugement est
définitif .
donc « C’ est à la fin de
la foire qu’ on compte les bouses... »
26 février 2014, ouverture d’une
information judiciaire pour « trafic d’influence ».
1er juillet 2014, Sarkozy est interrogé
par des policiers sous le régime de la garde à vue pour « trafic
d’influence » & « recel de violation du secret
professionnel ». .
2
juillet, mis en examen par deux juges d’ instruction pour
« corruption active »,
« trafic d’influence » & « recel
de violation du secret professionnel ».
corruption active : puni
de dix ans de prison et d’une amende d’un million d’euros. Il vise
« le fait, par quiconque, de proposer sans droit, à tout
moment, directement ou indirectement, des offres, des promesses, des
dons, des présents ou des avantages quelconques à une personne
dépositaire de l’autorité publique, chargée d’une mission de
service public ou investie d’un mandat électif public, pour
elle-même ou pour autrui ... » (article 433-1 du Code pénal).
« des faits
reprochés et constitués ou non »
il
semble que la GAV des policiers ait confirmé la constitution des
faits reprochés : la « corruption active »
a été retenue en fin de GAV et non avant, à l’ ouverture de l’
information judiciaire par le Pôle Financier du TGI de Paris
.
« On
peut reconvoquer la personne pour d’ autres auditions aussi... »
La
garde à vue est une mesure de privation de liberté prise par un
officier de police judiciaire pour maintenir à la disposition des
enquêteurs le suspect d’un crime ou d’un délit. Cette mesure doit
constituer l’unique moyen de parvenir à certains objectifs comme
empêcher que la personne ne modifie
les preuves,
ne fuie ou ne consulte
ses complices.
À
l’expiration du délai, la personne gardée à vue est soit
remise en liberté, soit déférée, c’est-à-dire présentée à un
magistrat qui décidera des suites à donner aux poursuites.
Reconvoquer pour d’ autres auditions,
obligerait de placer en détention le suspect (empêcher
que la personne ne modifie
les preuves,
ne fuie ou ne consulte
ses complices) : ce qui serait un abus & une
atteinte au principe de présomption d’ innocence.
La Garde à vue reste la seule procédure qui
préserve les droits d’ une personne soupçonnée.