Ce Libre c..... exige des analyses et n’en fait aucune.
Il ordonne qu’on comprenne ce qu’il a ruminé dans les bistrots et qu’on s’en tienne là.
On ne peut pas péter plus haut que son trou de balle. Les limites sont parfois impossibles à dépasser : il faut donc arrêter de croire qu’on est un fin analyste parce qu’on a ébloui le concierge.
Quand on prétend "démonter" les raisonnements, on essaie d’être soi-même plus cohérent.
Tiens, l’exemple de la Brinks...sorti tout droit du cerveau d’un gosse de dix ans max. Réécoutez-le : le type croit fournir une bonne analogie mais s’empêtre dans une "logique" complètement space.
Se dire "fatigué" d’entendre des avis et des propos sur le 11 sept. 2001...bizarre.
Quant à la rencontre avec Collon, parler de malhonnêteté alors qu’on ne sait même pas quelle question exacte a été posée...bizarre.
On comprend tout maintenant . Si les journalistes ne disent rien, c’est qu’il y a une règle absolue : il faut qu’un deuxième journaliste contacte le premier journaliste qui a eu l’info.
Bien sûr, tout le monde sait qu’un journaliste français réserve la primeur de son info au premier (pas le premier "ordinal" mais le premier venu, le deuxième journaliste) journaliste qui vient lui poser la question...
Mais comment un journaliste peut-il poser une question sur une info qu’il n’a pas ?
Ex : "Aphatie, c’est vrai que Tristane Banon a dit que DSK... ?"
S’il pose cette question, merde, c’est qu’il est déjà au courant. Il est donc dans le cas d’Aphatie.