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Vivre est un village

Vivre est un village

Consultant en systèmes d'Information logistique France Mexique Espagne Allemagne de 1969 à 2012 CONVIVIALISTE MILITANT !!! Ivan Illich La convivialité « Si les outils ne sont pas dès maintenant soumis à un contrôle politique, la coopération des bureaucrates du bien-être et des bureaucrates de l’idéologie1  nous fera crever de “bonheur”. La liberté et la dignité de l’être humain continueront à se dégrader, ainsi s’établira un asservissement sans précédent de l’homme à son outil. » Dans ce texte phare, Ivan Illich amplifie et radicalise sa critique de la société industrielle. Dénonçant la servitude née du productivisme, le gigantisme des outils, le culte de la croissance et de la réussite matérielle, il oppose à la « menace d’une apocalypse technocratique » la « vision d’une société conviviale ». Ce n’est que par la redécouverte de l’espace du bien-vivre, qu’Illich appelait la convivialité, que les sociétés s’humaniseront. Ivan Illich (1926-2002) Il a dirigé l’université catholique de Porto Rico avant de fonder, au Mexique, le Centre international de documentation (CIDOC).

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    Vivre est un village Vivre est un village 27 juin 2021 08:11
    • GAMMA-RAY-BURSTS

      From BHAGAWATA to HEIDEGGER

      Avec l’innocence du bambin qu’a trempé son doigt dans la confiture ou

      le gentil toutou qui vous rapporte son nonos, y en a qui vous repasse le

      plat accompagné du rituel :

      « Vous en reprendrez bien une lichette » ?

      Le tout enrubanné de battements de cils enveloppant une voix de

      célesta tandis qu’en arrière gorge fioriture un arôme brûlé de perversion

      genre :

      « Spearmint Splash into green’s Goodness »

      « Pour faire joli » ! Comme dit le bambin mais aussi et surtout pour

      montrer qu’on existe et qu’on ne se contente plus d’Être !

      Elseneur n’est plus dans les langes non plus que le grondement post-

      mortem !

      « To Be Or Not To Be » !

      « Être c’est un concept à géométrie variable. Et c’est du lourd, je vous

      l’accorde. Avec cette arrogance originelle démultipliée à la saison du

      sacre du printemps chacun déploie l’arsenal de ses potentialités pour se

      faire telle la grenouille aussi grosse que le bœuf !

      Et le paon n’est pas le seul à faire sa roue !

      Adonc dans cette course folle à exister, c’est l’innovation qui sur le

      marché a le vent en poupe et de tous côté s’entend :

      « Tire la chevillette ! Allez, allez ! La bobinette cherra de surcroît ! »

    • À ceci près que la fameuse expression sculptée au plus intime du cœur

      d’une murmurante méditation ne recouvre pas cette totalité que la

      Physique définit en terme de : « champ des possibles ».

      Et que les lois de la Nature ne sont pas binaires mais ternaires !

      Adonc, il faudrait plutôt dire : Être ou ne pas Être ou Être mais avec

      quelque chose de PLUS !

      Et là, comment faire l’impasse sur cette fusée kandinskienne

      « Ignate Your Dreams », splendide illustration de conscience intuitive

      extraneuronale face au plafond de la Sixtine :

      « L’impact de l’angle aigu d’un triangle sur un cercle produit un effet qui

      n’est pas moins puissant que le doigt de Dieu touchant le doigt d’Adam

      chez Michel-Ange » !

      Tout est dit.

      Exister c’est le sacre du printemps. C’est l’humble bourgeon qui veut se

      dépasser. Et la floraison qui est le prolongement végétal de ce « dur

      désir de durer », inscrit dans le marbre de l’éternité le symbole même du

      destin de l’Homme.

      Exister… C’est trouver le déclic qui va catapulter un objet dans une autre

      dimension.

      Ainsi, si j’en crois Einstein le hasard est l’apparence que prend Dieu pour

      passer incognito.

      Dont acte.

      Alors le chercheur qui réussit à porter à son pic une équation sur laquelle

      il s’est escharboté les méninges depuis des années, et qui n’a pas

      d’autre moyen que d’ajouter un « Deus ex machina » afin de la valider

      Réalise bien que là réside un mystère !

    • Linden BLOSSOM



  • 1 vote
    Vivre est un village Vivre est un village 25 juin 2021 17:02

    Une invitation à la lecture du livre de François Boulo "Reprendre le pouvoir" Edition d’avril 2021 des Les Liens qui Libèrent

    La dette publique : c’est grave docteur ? (page 74/75)

    Car si vous êtes un "honnête citoyen", vous savez bien qu’il "faut payer ses dettes".

    Ce poncif est aussi efficace que faux.

    Archifaux.

    L’astuce consiste à comparer le montant de la dette publique avec le total des richesses que le pays produit en une année.

    Présenté de cette manière, il est donc suggéré que le taux d’endettement de la France serait de 100% !

    Rien n’est moins vrai.

    Le remboursement de la dette publique est échelonné sur une période de 7 ans. 

    Dès lors, le taux d’endettement public par rapport au PIB n’est pas de 100%, mais uniquement de 14% (100%/7ans) !

    On respire déjà beaucoup mieux, non ?

    Et puisque ceux qui nous instrumentalisent la dette pour manipuler l’opinion publique comparent toujours l’Etat avec un ménage pour activer un sentiment de culpabilité chez les citoyens, on peut rappeler que el taux d’endettement admis par les banques pour octroyer des crédits immobiliers aux particuliers est de 33%.

    L’Etat a de la marge, non ?

    Cette comparaison de l’Etat avec un ménage est au demeurant totalement absurde.

    Et pur une raison très simple à comprendre.  

    Un particulier a une espérance de vie limitée, pas un Etat.

    La différence est fondamentale.

    Un particulier ne peut emprunter que pendant une période limitée de sa vie, puisque aucune banque ne lui prêtera à partir d’un âge considéré comme trop avancé.

    Il n’en est rien pour un Etat qui n’est nullement contraint à cette limite de temps.

    A la différence d’un ménage, l’Etat sait qu’il pourra toujours financer sa dette tant, mes prêteurs le considéreront comme solvable.

    La France qui est, (encore) l’une des grandes puissances économiques du monde, semble donc relativement à l’abri.

    Il faut ajuter qu’une donnée est systématiquement oublié quand il s’agit d’évaluer les risques que fiat peser la dette publique sur la solvabilité : la valeur du patrimoine don l’Etat est propriétaire.

    S’agit-il des salariés au Smic ?

    Des infirmiers, juges, policiers ou enseignants ?

    Des retraités ?

    Des enfants scolarisés ?

    NON !

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