@JL
Non, je n’ai pas établi "toutes" les relations de cause à effet, j’ai de mon point de vue établi les lois fondamentales qui président aux relations de cause à effet. C’est à dire, ses conditions d’existences.
La première est intangible c’est la même pour tout le monde. Par contre, les autres ne le sont pas ou non considérés comme faisant partie de la causalité.
Notamment le principe d’invariance qui dit qu’un principe est fondamentalement (dans ses conditions d’existences) invariant quelle que soit l’échelle ou le domaine auquel on l’applique, seule change sa forme et d’autant plus radicalement qu’on change d’échelle ou de domaine. Par exemple, si la condition d’existence d’une onde est qu’il existe un milieu porteur, alors, cela vaut aussi pour les ondes électromagnétiques.
Là ou cela devient très révélateur c’est au niveau des relations humaines dans le domaine politique et économique. Par exemple, qui montre que la monnaie voit sa face crédit et dette intriquées l’une et l’autre et le système actuel qui les traites séparément viole les lois physique de la nature tout en affirmant se référer à elles pour justifier du système économique. Qui tient tant que l’imaginaire de la population est manipulée par la minorité qui la contrôle. Ceci pour lui permettre d’accumuler la face crédit et d’en faire assumer la face débit ou dette par les autres.
Quant à la causalité circulaire, au niveau physique c’est le premier niveau des particules physique. C’est à dire, que selon ce point de vue, toute particule est l’expression d’une relation de causalité et seulement cela.
Bref, il existe quatre grands groupes de particules disons causales (avant j’en étais à trois). Les particules avec la propriété de récursion, celles avec les propriétés de récursion et de récurrence, puis qui ajoute la propriété d’itération et enfin, les particules les plus complexes qui ont la propriété de fractatlisation et ce sont les atomes. Car seule la fracatalisation permet de changer d’échelle qui fait ce qu’on appelle la flèche du temps dans la complexité.
Là où tout devient très complexe c’est qu’il y a des effets kaléidoscopiques.